Mickaël Winum

Mickaël Winum

Mickaël Winum est né à Sélestat en Alsace. Très vite passionné par le théâtre, il s’inscrit dans la troupe du metteur en scène Jaromir Knittel (diplômé du CNSAD de Paris). En 2006 il a l’occasion d’interpréter L’Aiglon d’Edmond Rostand au Festival de théâtre de Charle- ville-Mézières où il obtient un prix d’interprétation.

Il joue ensuite le naturaliste dans Le Verfügbar aux enfers de Germaine Tillion. Il partira en tournée avec la troupe de Jaromir Knittel notamment en Alsace, à Bergerac, en République Tchèque et au Festival d’Avignon en 2008 et 2009.

En 2010 il s’inscrit au Conservatoire d’art dramatique de Strasbourg où il entre en deuxième année sous la direc- tion de Jacques Bachelier.
En 2012, il arrive à Paris et travaille avec Nâzim Boudjenah et Christian Gonon de la Comédie française.
Il commence à tourner au cinéma dans le film En fait rien n’a changé de Valentin Tierny, Quand vais-je te revoir de Raphaëlle Jean Louis, Krank de Caroline Chu et Surface de Fareed Kairon où il interprète son rôle en anglais.

On peut également le retrouver à la télé, notamment dans la série Section de recherches.

En 2018, il joue Oreste dans Andromaque sous la direction d’Anne Delbée au « Mois Molière » de Versailles, ainsi qu’au Festival d’Angers et au Festival de Figeac. La même année il décroche le rôle de Dorian Gray dans Le Portrait de Dorian Gray mis en scène par Thomas Le Douarec. Il le jouera pendant quatre ans en anglais et en français au Théâtre du Ranelagh, au Théâtre La Bruyère ainsi qu’au Festival d’Avignon et en tournée.

Il interprétera cette année un avocat dans la pièce La liberté volée écrite par Charles Amson et mise en scène par Jacques Connort, un spectacle traitant du procès de la comtesse Jeanne du Barry.
Il jouera également un officier allemand dans la pièce Résistance(s) ainsi que le personnage de Chaval dans une adaptation théâtrale de Germinal, deux spectacles conçus et mis en scène par Jean-Bernard Philippot.

Mickaël aime aussi peindre, chanter et jouer du piano. En 2023 il joue Rimbaud dans le seul-en-scène : Tête-à-tête avec Rimbaud de Brigitte Arnaudet , mis en scène par Brigitte Arnaudet au Festival Off d’Avignon.
Il prépare d’ailleurs son premier EP qui sortira prochainement.


Jean-Paul Sermadiras

Jean-Paul Sermadiras

Jean-Paul Sermadiras se forme à l’Atelier International de Blanche Salant et au sein des Ateliers de l’Ouest avant d’y assister Steve Kalfa. Il complète sa formation par des stages, notamment avec Alexander Chéluguine (du GITIS de Moscou). Il obtient un master de philosophie à l’Université Paris VIII. En 1990, il signe sa première mise-en-scène au théâtre avec Roshdy Zem. En 1995, il crée la Compagnie du PasSage.

Il met en scène Pour un oui pour un non puis Roucoulades avec Jean-Claude Bolle-Redat aux théâtres de la Commune, du Rond-Point et de la Criée à Marseille. Il monte également Voix de garage et L’Absent, pièces co-écrites par cinq auteurs lauréats de la Fondation

Beaumarchais puis La Banalité du mal de Christine Bruckner.
En 2013 il joue La Mort de Marguerite Duras d’Eduardo Pavlovsky au Lucernaire et au Festival Off d’Avignon, dans une mise-en-scène de Bertrand Marcos.
Il a joué dans une trentaine de pièces : L’Ecole des Femmes de Molière et Feydeau Terminus, deux mises-en-scène de Didier Bezace ; Le Misanthrope de Molière par Dominique Wittorski ; La Mégère apprivoisée de Shakespeare, Le Parc de Botho Strauss mis en scène par Florian Sitbon, Le Soixantième Parallèle mis en scène par Pierre Strosser au théâtre du Châtelet, L’Ours et Une demande en mariage de Tchekhov mis en scène par Christopher Buchholz. En 2015, il adapte et interprète sous la direction d’Olivier Ythier Le rêve d’un homme ridicule de Dostoïevski. Ce spectacle est créé au théâtre de Belleville, repris au Poche Montparnasse et en tournée au Maroc et en Inde. Il est repris au Off d’Avignon en 2019, 2021 et 2022 au théâtre de l’Étincelle.
En 2018, il adapte des textes de Sri Aurobindo et Satprem et met en scène avec Olivier Ythier Et pourtant c’est la veille de l’aurore créé lors d’une résidence à Auroville en Inde et représenté au Festival d’Avignon au théâtre de l’Étincelle en 2018, repris en Inde à Auroville et Pondichéry en mars 2019 ainsi qu’au théâtre de l’Epée de Bois du 6 au 18 mai 2019.
En 2020 il a joué dans La Solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltès, mis en scène par David Géry. Le spectacle a été créé dans le cadre des Francophonies de Pondichéry et a été repris au Lavoir Moderne Parisien et au Théâtre de l’Arlequin en octobre 2020.

Pendant l’hiver 2022, il présente ses spectacles Le Rêve d’un homme ridicule, Dans la solitude des champs de coton et Sur le champ, une adaptation de la Bhagavad Gîta, à Dacca et à Chittagong au Bangladesh.

En juillet 2023, il et met en scène et interprète Festival d’Avignon Off 2023 Mon Voisin Lennon une pièce de Camille Saféris adaptée du roman de David Foenkinos sur les derniers moments de la vie de John Lennon.

Cette saison, il mettra en scène Thierry Gibault et Olivier Ythier dans L’Intranquillité d’après Le Livre éponyme de Fernando Pessoa. Pendant le festivval d’Avignon 2024 on le retrouvera également dans une pièce de l’auteure irannienne Chahlha Chafiq « Derrière le Voile » une pièce qui nous entraine dans les affres de la société iranienne et de cette révolte contemporaine « Femme, vie, liberté ».


Claude-Alain Planchon

Claude-Alain Planchon

La première pièce de Claude-Alain Planchon La dame céleste et le diable délicat adaptée d’un de ses romans par Bérengère Dautun, ex-Sociétaire de la Comédie-Française, a remporté un beau succès au festival d’Avignon en 2021 et au Studio Hébertot où la pièce a été représentée de 2019 à 2020. Cela l’a encouragé à écrire cette seconde pièce Caspar 199-19-13.

La dame céleste et le diable délicat, correspondance intime avec Gilberte Cournand célèbre galeriste parisienne, journaliste et critique de danse, résistante et mécène, préfacée par Brigitte Lefèvre, ancienne directrice de la Danse à l’Opéra National de Paris. Collection « Ambre », 2014. Prix «Humanisme 2015» décerné par le Rotary Club International et le Groupement des Écrivains Médecins (GEM), a fait l’objet d’une adaptation théâtrale par Madame Bérengère Dautun, ex-Sociétaire de la Comédie-Française qui a remporté avec ce rôle, le prix de la « Meilleure comédienne du Festival Off d’Avignon 2021 »
Claude-Alain Planchon a fait quasiment toute sa carrière en tant que médecin à l’Hôpital Américain de Paris dans le domaine de l’imagerie médicale de pointe. Spécialiste en Médecine Nucléaire et diplômé en Cancérologie Cli- nique, il a été pendant plus de 15 ans le président co-fondateur de CHOIX VITAL : Parole & Cancer®, association Loi 1901, reconnue d’Intérêt Général, pour l’information et le soutien des malades cancéreux et de leurs proches. En tant que journaliste et écrivain, il a publié de nombreux articles et collaboré à plusieurs ouvrages collectifs.

Claude-Alain Planchon est membre de l’Académie Littré depuis 1918.

Du même auteur, aux éditions Underground :
Sang d’encre, roman. Éditions Underground, 2018.
Chez d’autres éditeurs :
Le prince aux mains rouges, roman préfacé par Anne Delbée et illustré par Patrice Larue. Société des Écrivains, 2011. • Sans stèle fixe, roman autofiction. Postface du Pr. David Khayat. Collection « Écritures ». L’Harmattan-Paris, 2011. • L’an nuit des rois, recueil de poésies noires, coécrit avec Anne de Commines. Collection « Poètes des cinq continents », L’Harmattan-Paris, 2011.
Traits au crayon noir, recueil de nouvelles préfacé par Renée de Ceyssandre. Collection « Marges », 2011.
Le cancer maux à mots, coécrit avec Anne de Commines et préfacé par le Pr. Daniel Sérin. Éditions Trédaniel-Josette Lyon, 2012.
Pas de fleurs pour Dune Parker, roman préfacé par Dominique Lapierre. Collection « Ambre », 2013.
Panique à Deer Creek, roman, collection « Zone Franche », 2015.
• Last dance à Amsterdam, roman. Collection « Zone Franche », 2017.
• Carnet de voyage en Psychadélie, recueil d’aphorismes illustré par Antoine Schaab et Jorge Amat. Collection « Images & mots », 2018.
• L’envol de l’aigle, biographie du danseur-étoile, pédagogue et chorégraphe Larrio Ekson. Éditions Jacques Flament. Collection « Parcours » 2019.
• Turi, biographie de Giuseppe Moro. Editions Jacques Flament. Collection « Parcours » 2021.
• Les émerveillés Roman. Editions Jacques Flament. Collection « Zone franche » 2022.


Catalina Skinner

Catalina Skinner

Catalina Skinner, mezzo-soprano franco-colombienne, est diplômée d’un master en chant lyrique au Conservatoire Supérieur de Lyon. Elle intègre ensuite le prestigieux Studio de l’Opéra de Lyon et participe à plusieurs de leurs productions. Remarquée à la scène pour sa pré- sence et ses qualités vocales, elle interprète les rôles mozartiens ainsi que d’autres grands rôles du répertoire classique (Rosine, Cherubino, Nicklausse, Carmen, Dorabella, Maria…). Elle s’est produite en France,
Belgique (théâtre de la Monnaie), Espagne (Barcelone Festival of song), Algérie (nouvel Opéra d’Alger et Basilique Notre Dame d’Afrique) et Colombie dans des répertoire divers tels l’opéra, le lied ou encore la mélodie française ou latino-américaine. Elle crée en 2015 avec le baryton Pierre-Yves Binard la compagnie lyrique Oper’Azul.


Emmanuel Pélaprat

Emmanuel Pélaprat

Musicien à part dans le paysage musical français, il cultive avec bonheur une carrière d’interprète aux multiples facettes, et de chercheur, deux activités complémentaires pour cet insatiable de musique, toujours à la recherche de nouvelles découvertes.

Né à Toulouse, il étudie d’abord au Conservatoire de cette ville, notamment avec Jan Willem Jansen pour le clavecin et Michel Bouvard pour l’orgue, et y remporte sept récompenses, avant d’entrer au Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris, où il obtient cinq premiers prix dans des disciplines différentes. Il est aussi titulaire du grand orgue Eugène Puget (1880) de l’église Notre-Dame du Taur à Toulouse et co-titulaire de l’orgue Cavaillé Coll de la Basilique Saint Sernin de Toulouse.

Conciliant son goût pour la recherche et la musique romantique, Emmanuel Pélaprat a fondé l’ensemble à géométrie variable Double Expression avec lequel il explore sur des instruments historiques un riche répertoire allant de 1850 à 1920. Avec Double Expression, il a enregistré pour le label Hortus un CD, Chant de guerre, consacré à la Grande Guerre (Karg-Elert, Kunc et Schmitt en première mondiale) sous l’égide du « Label Centenaire » et vient de graver avec Jérôme Granjon, les duos pour piano et harmonium de Saint-Saëns, Franck et Lefébure-Wely dont il a récemment retrouvé la sonate (5 Diapasons).

Il a été l’un des solistes de la saison musicale de l’Orchestre de Chambre de Toulouse et collabore régulièrement avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse ; il vient de jouer l’orgue Rieger de la Philharmonie (Paris) avec eux dernièrement.

Il enseigne la musicologie à l’université Montaigne de Bordeaux.

Enfin, Emmanuel Pélaprat a été nommé Expert spécifique pour le patrimoine instrumental (orgue harmoniums) par le Ministère de la Culture en avril 2019.


Sonia Sempéré

Sonia Sempéré

Originaire du Gers, Sonia Sempéré obtient une médaille d’or à l’unanimité en Art lyrique et Musique de Chambre au Conservatoire de Tarbes dans la classe de Guy Chauvet. Elle intègre le Conservatoire de Toulouse avec l’Institut supérieur des arts de Toulouse (Isdat) et obtient son diplôme d’Etat de Chant et technique vocale. Elle se perfectionne auprès de Mireille Alcantara, Gabriel Bacquier, Maria Bayo et suit les conseils de Didier Laclau Barrère depuis plusieurs années. Elle se produit dans de nombreuses représentations d’Opéra au Théâtre du Capitole et participe aussi à plusieurs productions à l’Opéra de Massy, Châtelet et Bastille. Elle se produit aussi dans différents festivals en France et à l’étranger dans un répertoire musique sacrée. Elle participe à plusieurs productions d’opérettes avec différentes compagnies nationales, elle est Agathe dans Véronique de Messager, Sylviane dans la Veuve Joyeuse de Lehar, la 1ère cousine dans Valses de Vienne à la Halle aux Grains de Toulouse, Opéra Massy, etc. Son intérêt pour la musique française, l’amène à se produire en récitals avec l’ensemble Double Expression. Elle est la soprano pour le projet de la Grande Guerre 14/18 Label du Centenaire en partenariat avec les ministères de la Culture et de la Défense aux éditions Hortus. Elle se produit aux Invalides en 2017 pour la sortie du disque et au Memorial de Verdun en 2019 et 2023. Elle prépare actuellement l’enregistrement d’un disque de mélodies du compositeur franco italien Galeotti. Elle s’est intéressée à l’enseignement ces dernières années, toujours passionnée par l’évolution de la voix et enseigne au Conservatoire du Grand Cahors depuis 2010.

Elle est la directrice générale du festival CLASSICAHORS.


Julien Duthu

Julien Duthu

Contrebassiste navigant entre le jazz, les musiques du monde et les musiques actuelles, Julien étudie la contrebasse aux côté de Hein van de Geyn. Il se perfec- tionne par la suite avec Larry Grenadier, Joe Martin ou Riccardo del Fra. Il est titulaire du DEM de jazz et DE de Musiques Actuelles.
Julien participe à de nombreux projets et partage la scène aux côtés d’Enrico Piera- nunzi, Natalie Dessay, André Céccarelli, James Morrison, Michel Leeb, Géraldine Laurent, Stéphane Belmondo, Rick Margitza, Christian Escoudé, Ben l’Oncle Soul, etc…
Trophée Jeune Talent du festival de Montauban et lauréat du programme « Jazz Primeur » en 2009 avec le duo Duthu- Panossian, cela lui permet de jouer de Taiwan à Tel Aviv, de l’Asie centrale à Montréal.
Il participe à de nombreux albums comme «Canciones » de JM Padovani et Paloma Pradal, en duo Julien Duthu – Rémi Panossian, Initiative H, Big band Brass, Swing Bones, Daltin Trio ou Magyd Cherfi.
Artiste associé à la Scène Nationale d’Albi avec le Daltin Trio, il travaille sur Albi Jazz Festival. Co-organisateur du festival « Jazz Week » et du stage « Jazz au vert », Julien enseigne la contrebasse à Music’Halle de Toulouse, au CNR de Montauban et quelques stages d’été. De 2006 à 2010 il intervient aux rencontres internationales de contrebasse et Trio Jazz de Capbreton. Il est aussi coordinateur des Musiques Actuelles au Conservatoire du Tarn.


Alain Bruel

Alain Bruel

Musicien poly-instrumentiste, accordéoniste, compositeur, arrangeur, formateur, Alain Bruel travaille particulièrement sur des ensembles où la composition, l’im- provisation et les références aux musiques traditionnelles se côtoient.
Il participe à diverses créations pour ensembles d’harmonies dans des projets à vocation pédagogique ou de concert, compose pour la danse, mais surtout pour le théâtre. Depuis 2005 il est artiste associé au Centre Dramatique Régional de Tours, comme compositeur-interprète, pour le metteur en scène Gilles Bouillon.
Il participe depuis une quinzaine d’années aux créations de Jean-Marc Padovani, au sein de son quartet, mais aussi en duo et trio ou grand ensemble.


Alexis Brison

Alexis Brison

Ayant à cœur de partager sa sensibilité et son amour du partage, Alexis BRISON se dirige très tôt vers le milieu artistique, plus précisément vers la musique vocale pour laquelle il a une affection toute particulière.

En effet, dès son plus jeune âge, il commence à se rapprocher des scènes et autres lieux de culture.

Il entre tout d’abord à l’âge de 11 ans à la maîtrise de REIMS, avec laquelle il se produira de très nombreuses fois en soliste (Oxford, Salzbourg, Florence,…) Dans un deuxième temps il intègre le Conservatoire à Rayonnement Régional de REIMS puis, les Choeurs de l’Opéra de REIMS à 18 ans avec lequel il se produira notamment dans Carmen, La Traviata, La Sonnambula, Faust, Orphée aux Enfers, Eugène Onéguine, La Flûte Enchantée, L’enlèvement au Sérail, Cosi fan Tutte, Les Noces de Figaro… ainsi que Anna Bolena, Lucia di Lammermoor et Marie Stuarda en co-production avec le Théâtre des Champs Elysées

Par la suite, il intégrera les choeurs des compagnies Opéra Eclaté dans des productions telles que Les Pêcheurs de Perles de BIZET, Cavalleria Rusticana de MASCAGNI, Pagliacci de CAVALLO et Cenerentola de ROSSINI, avec lesquels il se produira dans l’ensemble de la France et même a l’étranger (Luxembourg, Maroc,…)

Enfin il perfectionnera ses aptitudes de chant lyrique au conservatoire de STRASBOURG, et intègre depuis Janvier 2024 le Choeur de l’Opéra National du Rhin en tant que supplémentaire dans les productions de Turandot de PUCCINI et Lohengrin de WAGNER.

Durant son parcours, riche en rencontres et en représentations, il travaille notamment avec Mélanie MOUSSAY (Strasbourg) et Didier LACLAU (Toulouse) et participe également à de nombreuses Masterclass, par exemple avec Alain GARICHOT (Paris) et Agnello CARMELO (Paris) qui l’amenèrent à participer à la 8ème symphonie de MALHER à la Philharmonie de PARIS dirigée par Daniel HARDING en 2023.

Alexis se dirige également vers la voie soliste du genre. Requiem/Oratorio de MOZART, Stabat Mater de DVORAK et autres Magnificat de VIVALDI, il étend son répertoire au lyrisme assumé d’œuvres plus colossales et tend à partager sa passion.


Nathalie Schaaff

Nathalie Schaaff

C’est au CNR de Nantes que Nathalie Schaaff a obtenu ses diplômes de musique : médaille d’or de solfège, chant, art lyrique et opérette. Elle a travaillé avec Régine Crespin Castelli et Michèle Command.

Elle débute sa carrière au Festival de Saint Céré et avec la troupe d’Opéra Éclaté

Elle chante dans de nombreux théâtres (Châtelet, Champs Elysées, Opéra-Comique, Théâtre du Capitole, Opéra du Rhin…) sous la direction de chefs tels que Chung, Salonnen,  Sado, Krivine, Sokiev et avec nombreux metteurs en scène comme O.Desbordes, E.Vigier, J.L. Pichon, G.Savary, J Lavelli, M. Fau…

Ayant un répertoire varié, elle chante aussi bien l’opéra,  l’opérette, l’ oratorio, la musique contemporaine, que le répertoire de cabaret ou de comédie musicale.


Pauline Jolly

Pauline Jolly

Flûtiste de formation, Pauline Jolly débute le chant en complément d’un master de musicologie, mise en scène et dramaturgie de l’opéra. Elle intègre en 2023 le programme Jeune scène lyrique de l’Arcal ainsi que l’atelier lyrique de l’Opéra de Massy. Elle se perfectionne actuellement auprès de Caroline Fèvre au pôle sup’93.

Elle prend part à différentes masterclasses (Dame Felicity Lott, Jean-Philippe Lafont, Leontina Vaduva, Joël Suhubiette…) et expérimente à de nombreuses reprises la scène dans des rôles tels que Donna Elvira et Fiordiligi (Mozart), Blanche de la Force (Poulenc), Lauretta (Puccini) et Salud (de Falla).

On pourra l’entendre en mars 2024 dans la voix de soprano du Stabat Mater de Pergolèse avec l’ensemble les Paladins, sous la direction de Jérôme Correas.


Fabio Sitzia

Fabio Sitzia

Guitariste de formation c’est lors de ses études supérieures que Fabio découvre le chant. Après des études au Conservatoire de Reims il poursuit sa formation en Sardaigne où il a ses origines auprès du ténor G. Mastino. C’est à l’Opéra de Reims qu’il a la possibilité d’obtenir ses premières interventions en soliste depuis 2012 sous la direction de différents chefs et metteurs en scène. Dernièrement il a pu être tour à tour Homme d’arme, 1e ou 2nd prêtre dans différentes mises en scène de La Flûte Enchantée, Oreste ou Ajax I dans des productions de La Belle Hélène, The Sailor dans Didon et Enée et se produire en récital dans les Landes ou il a régulièrement chanté ces dernières années. Parmi ses projets à venir notons Gastone dans La Traviatamais surtout Carlos dans La Belle de Cadix. Il retrouvera également cette saison Opéra Eclaté et l’Opéra des Landes.


Alfred Bironien

Alfred Bironien

Après un DEM de Chant lyrique au Conservatoire de Valenciennes, Alfred Bironien intègre l’École Normale Supérieure de Musique de Paris dans la classe de Daniel Ottevaere et suit également une formation à l’école de l’acteur du Théâtre Jules Julien. Il obtient un premier prix au concours d’opérette de Marseille.

Il se produit sur de nombreuses scènes lyriques : Opéras de Wallonie, Opéra Comique, de Fribourg, de Nice, d’Avignon, de Massy, Odéon et Opéra de Marseille, Soirées Lyriques de Sanxay, Phénix de Valenciennes, Opéra Eclaté…. Ou il aborde des compositeurs aussi variés que Mozart, Purcell, Offenbach, Messager, Poulenc, Puccini, Bizet ou Haendel dans une grande variété de personnages et de styles différents.

Il chante également le répertoire du XXème siècle et l’oratorio ( St Germain-des-Prés à Paris, cathédrale de Lille, Puy du Fou…).

Dans le futur, on pourra notamment l’entendre dans Lérida de la Veuve joyeuse à L’Opéra de Marseille, toujours à Marseille dans La Grande Duchesse à l’Odéon, dans une création pour enfants à L’opéra de Nice et au théâtre de Grasse , dans Monostatos de la Flute enchantée de Mozart et Ménélas de la Belle Hélène d’Offenbach avec Opéra éclaté, aux soirées lyriques de Sanxay (récital et Parpignol de la Bohème de Puccini) divers oratorio dont le Requiem de Mozart ou la Messa di Gloria de Puccini …


Thibault de Damas

Thibault de Damas

Thibault de Damas commence la musique dès son plus jeune âge par la pratique de la flûte traversière. C’est au cours de ses études de musicologie qu’il découvre avec émotion l’opéra et la musique vocale.

Fasciné par cette rencontre entre musique, texte et théâtre, il décide de s’y consacrer pleinement. Il intègre alors le Studio de l’Opéra National de Lyon et devient aussi lauréat de de la Fondation Royaumont et de l’Académie de la voix-Fondation des Treilles.

Actuellement, ses engagements l’amènent à aborder un vaste répertoire allant notamment de la musique baroque qu’il affectionne jusqu’à l’Opéra contemporain en passant par les opérettes de Jacques Offenbach et le répertoire bouffe Rossinien dont il apprécie tout particulièrement la dimension théâtrale.

Citons le Comte Oscar dans Barbe-bleue d’Offenbach à l’Opéra National de Lyon, Don Bartolo dans Le Barbier de Séville à l’Opéra National de Bordeaux, Don Profondo du Voyage à Reims lors du concert Radio Classique « Viva Rossini ! » au Théâtre des Champs-Élysées, Les Amants magnifiques de Lully à l’Opéra de Limoges sous la direction d’Hervé Niquet, Brander dans La Damnation de Faust sous la direction de François- Xavier Roth.

Récemment, Bartolo dans Les Fourberies de Figaro à L’Opéra de Nantes et l’Opéra d’Angers (captation), Dulcamara dans Un Elixir d’amour au Théâtre des Champs-Elysées (captation), le Médecin dans Pelléas et Mélisande au Théâtre des Champs-Elysées et à Cologne, direction F.X Roth, Polonius dans Hamlet à l’Opéra de Saint-Etienne, L’Arbre et le Fauteuil dans L’Enfant et les sortilèges à l’Opéra de Lille, Snug dans Le Songe d’une nuit d’été à l’Opéra de Lille, mise en scène Laurent Pelly, Wagner dans Faust à l’Opéra de Limoges et à l’Opéra de Vichy, Le Prieur dans Grisélidis de Massenet au Corum de Montpellier et au Théâtre des Champs-Elysées, Wagner et Un Banditore dans Fausto de Louise Bertin au Théâtre des Champs-Elysées sous la direction de Christophe Rousset.

Cette saison, Thibault de Damas chante entre autres le Comte Oscar dans le Barbe-bleue d’Offenbach, mis en scène de Laurent Pelly à l’Opéra National de Lyon.


Clément Chebli

Clément Chébli

Clément Chébli collabore depuis une dizaine d’années avec plusieurs compagnies dans différents domaines des arts du spectacle, théâtre / danse / opéra. C’est en 2015 à l’occasion du spectacle Gros câlin de la compagnie Cipango qu’il réalise sa première création vidéo. Sa rencontre avec Olivier Desbordes, donne lieu à une longue collaboration et de nombreux projets, l’Opéra de quat’sous, La Vie Parisienne 66, La Traviata. En 2023 Clément ouvre ses horizons à la suite d’une formation en alternance au CFPTS en lumière. C’est à cette occasion qu’il signe la création lumière de Caspar pour le festival d’Avignon OFF 2024.


Raphaël Jardin

Raphaël Jardin

En 2013, il termine ses études d’alto dans la classe d’Antoine Tamestit et obtient en 2014 le DNSPM et son Master en 2016. Au cours de ses études d’alto au Conservatoire National, Raphaël se découvre une grande passion pour l’Opéra et l’Art lyrique. Il débute ainsi en 2012 le chant avec Malcolm Walker et Alain Lyet. En 2013, il entre dans la classe de Xavier Le Maréchal au Conservatoire du 6ème arrondissement et obtient en 2018 le DEM, Diplôme d’Etudes Musicales.

En 2017, Raphaël réussit l’entrée en Formation Pédagogique d’Alto (CA) au Conservatoire National de Paris. Raphaël a eu l’opportunité de travailler avec de grands artistes tels que Robert Dumé, Anne Grappotte, Graciane Finzi, Denis Pascal…
Raphaël a interprété en Avril et en Mai 2018 sur la scène de l’Opéra de Tours le rôle de Snout dans A Midsummer Night’s Dream de Benjamin Britten et le rôle de Almeric dans Iolanta de Piotr Ilitch Tchaïkovski.
On a pu entendre Raphaël en Juillet avec la Berlin Opera Academy dans le rôle de Gabriel von Einsenstein dans « Die Fledermaus » de Johann Strauss sous la direction de Peter Leonard dans une mise en scène de Steven Anthony Whiting.
Raphaël Jardin interprète en Avril et Mai 2019 sur la scène de l’Opéra de Tours le rôle du Frère dans « Die Sieben Todsünden » de Kurt Weill sous la direction de Pierre Bleuse dans une mise en scène de Olivier Desbordes et le rôle de L’Incroyable dans « Andréa Chénier » de Umberto Giordano au coté de Gustavo Porta et Béatrice Uria Monzon.
Il interprète également en Juin 2019 le rôle de Idomeneo, le rôle de Fritz dans « La Nonne sanglante » de Charles Gounod sous la direction de Paul- Emmanuel Thomas dans une mise en scène de Julien Ostini au côté de Erminie Blondel et Florian Laconi en Novembre 2020. En décembre 2020, il participe également au « Paris Frivole » avec les Frivolités Parisienne. Il participe au concert à l’Orangerie avec les Frivolités Parisiennes le 18 septembre à Paris.
Il interprète le rôle d’Alfredo dans « La Traviata » de Verdi avec l’Orchestre et chœur Note et Bien en Décembre à Paris
En 2022, Raphaël est Fernand dans « la Favorite » de Donizetti avec l’équipe « Voix en développement » pour des concerts en France.
En décembre 2022, Raphaël est Hoffmann dans « les contes d’Hoffmann » de Jacques Offenbach pour le festival FILAO à Saint Pierre à la Martinique puis en février 2023 à La Réunion.
Raphaël interprète les airs de Roméo, du Duc de Mantoue, de Tonio et de Tony pour les Dîners sur Scène à l’Opéra de Nice dirigé par Bertrand Rossi.
Pour l’été 2023, Raphaël est Gérald dans « Lakmé » de Léo Delibes au côté de Rachel Ducket pour une tournée avec le CALM en France.
En décembre 2023, Raphaël sera La Théière, la Rainette, le Petit Vieillard et l’Arithmétique dans l’Enfant et les sortilèges de M. Ravel sur la scène de l’Opéra de Monte-Carlo.
En Mars 2024, Raphaël retrouve la scène de l’Opéra de Nice, il sera un Nouvel Adepte dans l’Opéra Guru de L. Petitgerard.

 


Stella Croce

Stella Croce

Issue d’une double formation de costumière-habilleuse, Stella se forme très tôt directement sur le terrain, au contact des artistes et des problématiques du spectacle vivant. Attirée par les spectacles atypiques et engagés, elle s’intéresse au spectacle de rue avant d’assister Pétronille Salomé dans Dévaste-moi. Egalement passionnée par l’opéra, elle se rapproche de la compagnie Opéra Éclaté qu’elle accompagne dans de nombreuses tournées. À leurs côtés, elle assiste également David Belugou pour Vie parisienne 66. Elle signe avec Cosi fan tutte son premier spectacle.


Stéphane Pelegri

Stéphane Pélégri

Percussionniste, pianiste, compositeur, arrangeur, il étudie au Conservatoire National de Toulouse, sa ville natale, puis au Curtis Institute of Music de Philadelphie (USA) ou il étudie entre autres le contrepoint et l’écriture.
Il est titulaire des Diplômes d’Etat de professeur en percussion et en jazz.

Il s’est produit au sein de différents orchestres : Astor Piazzolla, Saito Kinen Orchestra, Orchestre de Paris, Philharmonique de Radio France, Orchestre National du Capitole de Toulouse, Ensemble Orchestral de Paris, Opéra National de Lyon, Orchestre de la Radio Polonaise, Grand Orchestre de J.J.Justafré.

Il est membre de l’Orchestre national de Lyon depuis 1991 et est invité comme timbalier par Seiji Ozawa dans le cadre du Saito Kinen Festival (Japon) ainsi que par Riccardo Muti au Tokyo Opera Nomori (Japon).

Il est à l’origine de la formation Antonini Trio avec laquelle il participe depuis à de nombreux festivals de jazz et enregistre trois albums (« Academy House » en 1996, « Château de sable » en 2001 et « D’antre deux terres » en 2005 – partenariat SACEM).

En 2004, il signe une partie des arrangements et participe à l’enregistrement de l’album « Parole » de Catali Antonini avec Alfio Origlio, André Ceccarelli et Rémi Vignolo.
En 2009, il réalise les arrangements de l’album « Tribute to Lady Day » pour l’Ensemble de cuivres et percussions de l’Orchestre national de Lyon.

En 2015, il co-écrit et enregistre l’album de Catali Antonini « Persian Alexandria » (Klarthe Records Jazz / Harmonia Mundi Distribution).
En 2018, son album « Mikrokosmik, d’après Béla Bartok » sort chez Klarthe Records Jazz / Pias Distribution.

En 2023, il co-écrit et enregistre l’album de Catali Antonini « L’océan sonore » (Klarthe Records Jazz / Believe Distribution).

Il participe à l’écriture et se produit dans plusieurs spectacles de Danse : « Campe » (chorégraphie: Denis Plassard), « Voyage au fond du berceau » (chorégraphie: Marc Neff) et « Sonate en mouvement » (chorégraphie: Carla Frison), « Christmas with Duke » (chorégraphie: Sylvie Kay).

Il compose et arrange pour l’Orchestre National de France, Tokyo Symphony Orchestra, l’Ensemble de cuivres et percussions de l’Orchestre national de Lyon, le Big Band de l’Oeuf, le Quatuor de Trombone Millière, l’Ensemble Odyssée, l’Ensemble Octogone, le Wiener Brass Ensemble (Autriche), l’Orchestre Francais des Jeunes, Opéra Éclaté (« La grande duchesse de Gerolstein », « Le roi carotte »).

Il compose pour des court-métrages, publicités et travaille également avec Massimo Nunzi sur la musique du film italien « un fidanzato per mia moglie » (réalisation: Davide Marengo) en 2014.

 


Louis Desseigne

Fortement influencé par la tradition musicale afro-américaine, Louis est élevé aux sons des guitares blues et soul avant de rapidement se tourner vers le jazz et les musiques improvisées.
Diplômé des conservatoires de Lille et Tourcoing où il rencontre Pierre-Antoine Despatures et Marwan Fakir, il étudie ensuite la guitare jazz au Conservatoire Royal de Bruxelles auprès de professeurs comme Michel Hatzigeorgiou et Fabien Degryse.


Yousef Zayed

Né en 1982 à Jérusalem, Yousef Zayed commence à jouer des instruments de percussion orientaux à l’âge de 11 ans, puis se perfectionne, sous la houlette de Youssef Hbeish, au Conservatoire National Edward Saïd de Ramallah, où il décroche un diplôme en percussion. Il étudie le oud et la théorie musicale orientale et joue également d’autres intsruments à cordes comme le bouzuq et les cumbas. Paral- lèlement il obtient une licence dans les médias à l’Université de Birzeit.

Yousef Zayed joue dans de nombreux groupes de musique et avec des artistes reconnus tels que Khaled Jubran, Basel Zayed, Ahmad Al Khatib, Issa Boulos, Nawa, Turab, Karloma, Awj, The Oriental Music Ensemble, Palestinian youth orchestra PYO, Samer Totah, Lena Chamamyan, Elie Ma’alouf Jazz Quintet, Le Trio Joubran, Samih Choukaer, Abed Azrié, Wassim Qassis, Jameel Al-Sayeh, Sabreen, Smadj, Beit Almusica group musical, Yasamine, Al Funoun Folk dance group et First Ramallah group.


louis heol-Castel

Louis Héol-Castel

louis heol-CastelAprès 8 années de trompette il s’oriente vers le chant, par l’entremise du rock, de la musique variété, du gospel et par la comédie-musicale. Ceci avant de découvrir l’Opéra qui fut alors une révélation.

Il a incarné, entre autres, Calaf dans « Turandot », Monostatos dans « La Flûte enchantéé », Nanki Poo dans « Le Mikado », le Roi Ouf dans « L‘Etoile »,  Nicolas dans « La Foire St Laurent » d’Offenbach et le Matelot dans « Le Pauvre Matelot ». Il s’est également produit dans « Le petit ramoneur » de Britten, « La sorcière au placard à Balai » de Landowski, « La poule noire et rayon des soieries » de Rosenthal et autres oeuvres lyriques notamment sur la Péniche Opéra, de Mireille Laroche. Il participe à la création mondiale des « Faux Monnayeurs » (I Flasari) de Pierre Thilloy au Festival de Montepulciano ainsi que dans divers théâtres français.

il collabore régulièrement avec divers opéra en France comme à l’étranger et a participé à de nombreuses productions de l’Opéra de Paris. Il travaille ainsi avec de grands chefs d’orchestre tel que Henrik Nanasi, Daniele Rustioni, Ottavio Dantone, Philippe Jordan, Riccardo Frizza, Dan Ettinger,… Ainsi que des metteurs en scènes, Robert Carsen, Claus Guth, Guillaume Gallienne, Benoît Jacquot,… Il se produit régulièrement dans des concerts et oratorios.

Il a travaillé sa voix avec divers professeurs comme Daniel Gàlvez-Vallejo, Suren SahiDjanyan, Robert Expert, Philippe Madrange… Louis-Héol Castel a rencontré la grande Mezzo-soprano Viorica Cortez avec laquelle il a travaillé durant plusieurs années sa technique vocale. Avec ce solide bagage technique acquis au fil des années, il a ensuite continué de se perfectionner auprès du ténor Jean-Pierre Furlan. En 2015, il a remporté le premier prix du concours Georges Enesco de Paris.


Antoine Foulon

Antoine Foulon

Antoine FoulonAntoine Foulon

Antoine Foulon étudie le chant lyrique au CRR de Paris dans la classe d’Yves Sotin, où il obtient son prix de chant. En 2016, âgé de 23 ans, il intègre le Studio de l’Opéra National du Rhin, en Octobre 2017 Il obtient la bourse du Cercle Richard Wagner.
Il fait ses débuts à L’Opéra de Stuttgart dans Madame Butterfly de Puccini dans le rôle du Prince Yamadori en Novembre 2017. Il chante le rôle de Bobby (Mahagonny Songspiel) et un Frère (Les 7 Péchés Capitaux) de K.Weill à l’Opéra du Rhin, Zuniga (Carmen) au Zénith de Strasbourg, le Stabat Mater de Rossini à l’auditorium de Bordeaux, la Petite Messe Solennelle de Rossini à l’Auditorium de Bordeaux et au Festival Ré majeur sous la direction de Marc Minkowski. Il chante l’Hotelier (Manon) à l’opéra de Bordeaux et à l’opéra comique à Paris. Fiorello (Il Barbiere di Siviglia) ainsi que Sciarrone (Tosca) à l’Opéra de Rouen. Lodovico (Otello) ainsi que le Premier fossoyeur (Hamlet) à l’Opéra de Saint-Etienne. Il chante Morales (Carmen) à l’opéra de Reims et débute dans le rôle de Figaro (Le Nozze di Figaro) au Festival Musique en Ré dirigé par Pierre Dumoussaud et dans Don giovanni pour jeune public à l’opéra de Bordeaux.


Jean-Gabriel Saint-Martin

Jean-Gabriel Saint-Martin

Jean-Gabriel Saint-MartinJean-Gabriel Saint-Martin

Jean-Gabriel Saint-Martin découvre le chant au sein du Chœur d’Enfants de l’Opéra de

Paris sous la direction de Francis Bardot. Après l’obtention d’une Maîtrise de Droit Privé à l’Université Paris II, il intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse

(CNSMD) de Paris dans la classe de chant de Pierre Mervant en 2005. Membre de l’Opéra Studio de l’Opéra National du Rhin de 2009 à 2011, il apparaît dans de nombreuses productions. En 2012, il fait partie du Nouveau Studio de l’Opéra National de Lyon pour une production de L’enfant et les Sortilèges (Ravel).

Il est nommé « Révélation Classique – Artiste Lyrique » en 2011 par l’ADAMI.
Il est l’invité régulier du Festival International d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence depuis 2012 pour les productions de L’Enfant et les Sortilèges (Ravel), Les Boréades (Rameau), Ariadne auf Naxos (R. Strauss), Tosca (Puccini), ainsi que du Festival de Radio-France à Montpellier pour Fantasio et Ba-ta-clan (Offenbach). Il incarne par ailleurs le rôle-titre des Noces de Figaro de Mozart au Festival de Saint-Céré en 2017.
Il se produit dans de nombreuses maisons d’opéra en France comme l’Opéra de Marseille (Candide de Bernstein), l’Opéra de Lille (Dardanus de Rameau, Trois Contes de G. Pesson), l’Opéra de Saint-Etienne (Aladin et la Lampe Merveilleuse de N. Rota), l’Opéra de Massy et de Clermont-Ferrand dans le rôle-titre des Noces de Figaro de Mozart, l’Opéra de Tours (Les 7 Péchés Capitaux de K. Weill) et à de nombreuses reprises à l’Opéra National du Rhin.
Il fait ses débuts en 2013 à l’Opéra National de Paris dans Giulio Cesare de Haëndel (Curio) sous la direction d’Emmanuelle Haïm, et participe en 2015 à la production au Palais Garnier du Cid de Massenet (L’envoyé maure) sous la direction de Michel Plasson aux côtés de Roberto Alagna. Récemment, il effectue sa prise de rôle de Lescaut dans Manon de Massenet, dans cadre des « Grandes Voix » au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, aux côtés de Juan-Diego Florez et Nino Machaidze, sous la direction de Frédéric Chaslin.


Lysandre Châlon

Lysandre Châlon

Lysandre ChâlonLysandre Châlon

Baryton-basse, il étudie d’abord le violon au Conservatoire de Meaux avant de s’orienter vers l’apprentissage du chant. Il poursuit ses études au Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris avant de continuer son cursus au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris . Abordant un répertoire varié, ses projets vont du récital à l’Opéra, en passant par la musique ancienne notamment dans le baroque anglais et allemand, se produisant dans des Oratorios et des cantates de Telemann, Bach, Haendel et Purcell. Il s’est également produit sur scène en abordant les rôles du Comte dans Les Noces de Figaro et Papageno dans La Flûte Enchantée de Mozart, Belcore dans l’Elixir d’Amour de Donizetti, le Baron dans La Vie Parisienne d’Offenbach, Frank dans La Chauve-Souris de Strauss.


Mikhael Piccone

Mikhael Piccone

Mikhael PicconeMikhael Piccone

Après des études de piano et de théâtre, Mikhael Piccone obtient un prix de chant, un prix d’art lyrique en 2012 et un prix de perfectionnement d’art lyrique en 2014. En 2012, il remporte le grand prix d’honneur (1er prix et prix du public) au Concours international d’opérette de Marseille. En 2014, il est fait ses débuts à l’Opéra de Marseille dans la création mondiale Colomba de Jean-Claude Petit. Il y reviendra la saison suivante pour La

Gioconda de Ponchielli sous la direction de Fabrizio Maria Carminati. Dès lors il est invité dans plusieurs opéras nationaux et aborde des rôles comme Figaro dans Il Barbiere di Siviglia de Rossini, Jupiter dans Orphée aux Enfers d’Offenbach, Enée dans Didon et Enée de Purcell, Florestan dans Véronique de Messager, Guglielmo dans Cosi fan tutte de Mozart, Papageno dans Die Zauberflöte de Mozart, Danilo dans La Veuve Joyeuse de Lehar, Frédéric dans Lakmé de Delibes ou encore Pelléas dans Pelléas et Mélisande de Debussy, Valentin dans Faust de Gounod, Sganarelle dans Le Médecin malgré lui de Gounod, Le Comte Almaviva dans Le Nozze di Figaro de Mozart.

Parmi ses récents et futurs engagements : Mercutio dans Roméo et Juliette de Gounod à l’Opéra de Reims, le Commissaire Impérial dans Madama Butterfly de Puccini à l’Opéra de Marseille, Schaunard dans La Bohème de Puccini à l’Opéra de Rouen et à l’Opéra de Metz, Le Père dans Tistou les pouces verts de Sauguet à l’Opéra de Rouen, ou encore à l’Opéra de Tours dans le rôle de Belcore dans L’Elisir d’amore de Donizetti. Mikhaël est Zizel (Si j’étais roi) à l’Opéra de Toulon.

En parallèle de sa carrière d’artiste soliste, Mikhael fonde en 2019 le Collectif des artistes lyriques et musiciens pour la solidarité – Le CALMS. Un étendard d’artistes professionnels qui s’unissent aux profits de grandes luttes sociales et humanitaires.


Blaise Rantoanina

Blaise Rantoanina

Blaise RantoaninaBlaise Rantoanina

Blaise Rantoanina découvre le répertoire classique à Madagascar. Formé au chant dans la classe de Holy Razafindrazaka au centre d’éducation musicale Laka à Antananarivo, il étudie ensuite au CNSM de Paris auprès de Marcel Boone et y obtient le diplôme de Master en 2017.

En 2016, il est révélation classique de l’ADAMI, et chante l’année suivante le rôle de Paolino (Il Matrimonio segreto) dans une coproduction entre le CNSMDP et la Philharmonie de Paris.
Au cours de la saison 2017-2018, il incarne Belmonte (Die Entführung aus dem Serail) au Centre Lyrique de Clermont-Ferrand, puis aux Opéras d’Avignon, Rouen, Massy et Reims.

Il intègre ensuite la troupe de l’Opéra de Trèves, où il interprète des rôles aussi variés que Don Ottavio (Don Giovanni), Fenton (Die lustigen Weiber von Windsor), le Brésilien (La Vie parisienne), Piquillo (La Périchole) ou encore le Chanteur italien (Der Rosenkavalier) et le Comte Almaviva (Il Barbiere di Siviglia).

Parmi ses projets, citons notamment le rôle de Médor (Les Chevaliers de la Table Ronde de Hervé) à l’Opéra d’Avignon, celui de Saint-Phar (La Caravane du Caire de Grétry) à l’Opéra de Tours, ainsi que Le Malade imaginaire de Molière et Charpentier en tournée en France avec Hervé Niquet.


Jean-Miannay

Jean Miannay

Jean-MiannayJean Miannay

Jean Miannay, ténor français, étudie le chant à la Haute École de Musique de Lausanne avec Brigitte Balleys et à la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin avec Scot Weir.
Lauréat de plusieurs concours et fondations (Grand Prix du 4e Concours Raymond Duffaut, 26e Concours international de chant de Clermont-Ferrand, bourse de la fondation Colette Mosetti à Lausanne, 3e Prix du Concours Kattenburg, médaille d’or du 2e Concours international de Vienne catégorie Virtuoso), c’est à l’Opéra de Lausanne qu’il fait ses prises de rôle avec Cendrillon de Pauline Viardot (2018), Les chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019) et Les contes d’Hoffmann (2019).

En 2020, il incarne Beppe dans Pagliacci à l’Opéra du Grand Avignon qu‘il tiendra ensuite au festival de Saint Céré (été 2021), à l’opéra de Clermont-Ferrand et à l’opéra de Vichy.
Il fait ses débuts en 2020 aux Chorégies d’Orange, dans le cadre d’un récital enregistré par France 5 «La Nuit magique». Il est réinvité l’été 2021 pour un récital «scène émergente».

Ce même été il tient le ténor solo dans Le Roi David de Honegger aux côtés de l’ensemble vocal de Lausanne ainsi que le Sinfonietta de Lausanne. On peut l’entendre en outre en Napoléon dans la création de Pierre Thilloy Napoléon, ou l’Amour nu au festival Ventoux Opéra, ainsi qu’en Ferrando sur les scènes de Lausanne et de Fribourg en septembre 2021 avec l‘HEMU de Lausanne.


Marielou Jacquard

Marielou Jacquard

Marielou Jacquard

Marielou Jacquard

Marielou Jacquard fait ses premiers pas de musicienne au sein de la Maitrise de Radio France (Paris) puis à la Hochschule für Musik Hanns Eisler à Berlin, où elle a reçu l’enseignement de Martin Bruns, Julia Varady et Christine Schäfer. Elle se découvre une passion pour la scène lorsqu’elle interprète son premier rôle, Flora, dans The Turn of the Screw de B. Britten mis en scène par Eric Perez à l’opéra de Dijon en 2002-2003.

Sur scène, elle interprète notamment Cherubin dans les Noces de Figaro de Mozart avec Opera Eclaté. On la retrouvera bientôt au Théâtre des Champs Elysées dans Thais de Massenet et à l’opéra comique dans Lakmé de Délibès. Elle s’intéresse aussi de près à la musique baroque et collabore régulièrement avec des ensembles tels que les Cris de Paris, le Poème Harmonique – notamment pour la re-création de la zarzuela baroque Coronis dans lequel elle campe un Apollon redoutablement retord. Récemment avec l’ensemble les Epopées elle interprétait le rôle de Minerve dans le Retour d’Ulisse de Monteverdi, et on la retrouve cette saison pour plusieurs concerts aux cotés de l’ensemble Correspondance.

Férue de musique contemporaine, elle participe à de nombreuses créations d’opéras, dernièrement, on la retrouvait à Francfort (Alte Opera) avec l’Ensemble Modern, dans le rôle titre de la nouvelle pièce du compositeur germano-grec Manos Tsangaris, Pygmalia.
Enfin, elle donne de nombreux concerts de musique de chambre, dont actuellement un programme de musique russe et française avec la pianiste Xenia Meliarevitch. Par ailleurs, on la retrouvera très prochainement aux côtés de Stéphane Degout et Alain Planes dans la Belle


Ania Wozniak

Ania Wozniak

Ania WozniakAnia Wozniak est lauréate des 26e et 27e Concours Internationaux de chant de Clermont- Ferrand à la suite desquels elle interprète Lola dans Cavalleria Rusticana de Mascagni mis en scène par Eric Perez et sous la direction de Gaspard Brécourt et Miguel Campos-Netto en tournée à l’Opéra Grand Avignon, au Festival de Saint-Céré, à l’Opéra de Clermont-Ferrand, à l’Opéra de Vichy et à l’Opéra de Massy.

A son répertoire également les rôles de Carmen, Mercedes, Rosine, Tisbé, Flora, la 2ème dame, la Belle Hélène ou encore l’Opinion Publique qu’elle chante sous la direction de Julian Smith, Richard Boudahram, Frédéric Rouillon et Salvatore Scinaldi à l’Amphithéâtre Bastille, au Théâtre des Bouffes du Nord, au Théâtre du Gymnase, au Théatre Maria Regina d’Oradea, au Palais de la Méditérranée, au Festival Nebrodi in canto en Sicile ou au Pin Galant de Mérignac. Elle travaille régulièrement avec les metteurs en scène Carmelo Agnello, Bernard Jourdain et Isabelle du Boucher.

Prochainement elle sera Dorabella en tournée avec la compagnie Opéra Eclaté dans une mise en scène d’Eric Perez et sous la direction de Gaspard Brécourt. La saison prochaine, elle interprétera Costanza dans l’Isola disabitata de Haydn à l’Opéra de Clermont-Ferrand accompagnée par Philippe Cassard


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Éléonore Pancrazi

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Éléonore Pancrazi

Révélation Artiste lyrique de l’année aux Victoires de la Musique classique en 2019, lauréate de nombreux concours, et diplômée de l’Ecole Normale de Musique de Paris, Eléonore Pancrazi mène sa jeune carrière internationale sur toutes les grandes scènes.

On l’a entendue notamment au Théâtre des Champs-Elysées (Le Barbier de Séville, Manon, Carmen, La Vie Parisienne), à l’Opéra de Nancy (L’Heure Espagnole, Gianni Schicchi, Katia Kabanova), à l’Opéra de Clermont-Ferrand (Orphée et Eurydice, les Noces de Figaro), à l’Opéra Royal de Versailles (Sémiramis de Destouches), au Capitole de Toulouse (Lucrezia Borgia), au Stattstheater de Karlsruhe (Tolomeo), au Tchaikovsky Hall de Moscou (Lucrezia Borgia, Tamerlano)

En 2018, elle fait partie de la production de Cendrillon du Glyndebourne Tour Opera et en 2020 elle est membre de la troupe du Klagenfurt Stadttheater.
Elle a participé à plusieurs enregistrements (Sémiramis, Chausson le Littéraire, Ô mon bel Inconnu, La Princesse Jaune et Mélodies Persanes) et a déjà collaboré avec

Opéra Éclaté en 2017 dans les Noces de Figaro où elle était Chérubin.
Ses engagements futurs la conduiront entre autres au Capitole de Toulouse dans Jenufa et Le Nozze di Figaro au Théâtre des Champs-Elysées dans la Périchole, à l’Opéra de Liège dans la Vie Parisienne, et à l’Opéra de Marseille dans les Huguenots.


Julie Goussot

Julie Goussot

Julie Goussot

Julie Goussot

Julie Goussot découvre le chant lyrique au sein de la maîtrise de l’Opéra de Toulon. En parallèle de ses études de design, encouragée par son professeur nîmois Daniel Salas, elle se présente au concours du CNSMD de Lyon en 2016. Elle est admise et intègre la classe de Brian Parsons, puis de Mireille Delunsch. Elle se perfectionne à la Hochschule für Musik und Theater München dans la classe d’Andreas Schmidt.

Lauréate de plusieurs concours internationaux, elle est remarquée et récompensée par le prix du Centre Français de Promotion Lyrique décerné par M.Raymond Duffaut en 2015 à Arles, puis le prix Jeune Talent au concours de Béziers. Le Cercle Richard Wagner Lyon lui attribue une bourse pour se rendre à Bayreuth pour le Wagner Festspiele 2018.

En intégrant la troupe d’Opera Fuoco, dirigée par David Stern, elle a été Luise dans Die Stumme Serenade de Korngold, Romilda dans Xerxes de Händel, Suzanna et Barberina dans les Nozze di Figaro de Mozart, Cintia dans Il Pittor Parigino de Cimarosa et prochainement Mimì dans La Bohème de Puccini.

Elle intègre la nouvelle troupe de l’Opera Studio à Strasbourg pour la saison 2019/20 dans Rusalka en Seconde Nymphe de Dvořák, Vierte Blumenmädchen dans Parsifal de Wagner et la doublure de Fiordiligi dans Cosi Fan Tutte de Mozart. Puis pour la saison 2020/21, elle était Gretel dans Hänsel und Gretel de Humperdinck, le rôle titre de Friederike de Lehàr, le rôle titre de Madame Chrysanthème de Messager, et Clorinda dans la nouvelle production de Cenerentolina. Elle sera réinvité à l’Opéra du Rhin dans la Première française de Die Vögel de Walter Braunfels dans le rôle du Zaunschlüpfer dans la saison 2021/22.


Charlotte Despaux

Charlotte Despaux

Charlotte Despaux

Charlotte Despaux chante depuis son plus jeune âge. En 2012, elle entre au CNSMDP dans la classe de Malcolm Walker et est choisie pour chanter dans La Vierge de Massenet à Notre- Dame de Paris sous la direction de Patrick Fournillier. Elle est lauréate de plusieurs concours dont celui de Marmande (Prix Jeune Espoir et Prix Spécial du Jury), de Béziers et des Musiques au cœur du Médoc (1er prix).

Dernièrement, on a pu l’entendre dans la Comtesse Lisa (Le Pays du sourire) et Missia Palmieri (La Veuve joyeuse) à Marseille ; le rôle-titre de La Traviata au Théâtre des Variétés de Paris ; la Comtesse Almaviva (Les Noces de Figaro) au Festival de Saint-Céré, à Clermont-Ferrand et en tournée avec Opéra Eclaté, Marguerite (Faust) et Poussette (Manon) à Monte Carlo ; Giulietta (Les Contes d’Hoffmann) à Fribourg ; Marie de Gonzague (Cinq Mars de Gounod) à Leipzig (co- production Palazetto Bru-Zane) ; Frasquita (Carmen) au Théâtre du Capitole de Toulouse , la Dame d’honneur (Macbeth) à Limoges et Reims, la Première Prêtresse et une Femme Grecque (Iphigénie en Tauride) au Théâtre des Champs-Elysées etc.

En juillet 2014, elle participe à la master class donnée par Ludovic Tézier à l’Opéra de Nancy. Elle a interprété la Quatrième Symphonie de Mahler avec l’orchestre « Melodix » de Nanterre. Durant la saison 2015-2016, elle est résidente à La Chapelle Reine Elisabeth en Belgique où elle se perfectionne auprès de José van Dam. Au cours de la saison 2019-2020, elle chante Juliette (Roméo et Juliette) au Festival de Gujan-Mestras, la Dame d’Honneur de Macbeth à l’Opéra de Massy, la Comtesse des Noces de Figaro à l’Opéra de Lille. Elle fait ses débuts à l’Opéra de Paris en 2020 avec la Carmen de Calixto Bieito dans le rôle de Frasquita


Joel-Fabing

Joël Fabing

Joël Fabing


Gaspard Brécourt 2

Gaspard Brécourt

Gaspard Brécourt 2

Gaspard Brécourt

Né à Paris, Gaspard Brécourt étudie la musique tout d’abord à la maîtrise de Radio France puis au CNR de Boulogne Billancourt où il obtient ses diplômes de Piano, Percussions, Harmonie et contrepoint. Il exerce tout d’abord comme chef de chant dans différents Opéras (Opéra du Rhin, Opernhaus Hannover, Teatro Colon de B.Aires, T.I de Compiègne …).

Par la suite il devient l’assistant de Maestro Marek Janowski au NOP durant deux années.
Il a notamment dirigé depuis ses débuts, La Bohème et Cosi fan tutte avec l’orchestre Ostinato ; Le visiteur (E.E.Schmitt/Xarhakos), L’Arlesienne, Djamileh au Th.Imp de Compiègne ; Cyrano et Roxane (J.C.Carriere/Xarhakos) à l’Opéra d’Athènes ; Madama Butterfly, Lucia di Lammermoor, Traviata, Cenerentola, Il barbiere di Siviglia, D.Giovanni, Nozze di Figaro, Cosi fan tutte, Les Pêcheurs de perles, C.Rusticana/Pagliacci, la Périchole, la vie Parisienne avec Opéra Éclaté au festival de Saint-Céré et à l’opéra de Massy, de C.Ferrand, Avignon; Les Pêcheurs de perles à l’opéra de Marseille ; Le Martyre de Saint Sébastien avec le Netherlands Radio Phil.Orchestra à Amsterdam ; des Concerts symphoniques avec Le TMSO à Tokyo, l’Orchestre de la Radio d’Athènes, l’ORSC de Tours.

Par ailleurs, il s’occupe de la formation de jeunes chanteurs avec Classic Lyric Arts et la Juilliard school de N.Y. Il travaille également pour la professionnalisation des jeunes chanteurs dans les Antilles françaises avec Carib’Opéra et le soutien du ministère des Outre-mer.

Parmi ses futurs engagements figurent ; D.Quichotte à l’Opéra de Marseille, La Belle Hélène et Die Zauberflöte avec Opéra Éclaté en tournée 24/25 ; concerts symphoniques avec le TMSO au Japon.


Azziz Lkhattaf

OPERA ECLATE - Opéra Théatre ProductionDe toile en toile, Lkhattaf ne cesse de nous plonger dans les racines de la terre, de la culture marocaine dont il est issu. Son retour dans les environs de son enfance (après avoir vécu des années à Tanger) constitue pour lui une bouffée d’oxygène qui enrichit sa créativité et fait vivre en lui la douceur nostalgique. «Mon installation à Tanger est pour moi le point le déclenchement d’une carrière artistique. Car c’est à Tanger où j’ai appris la peinture et ses techniques, du fait de mon travail à l’Institut français où je m’occupais de la galerie Delacroix. C’est là où j’ai été initié aux arts plastiques et je me suis découvert la vocation d’artiste peintre grâce à l’encouragement de plusieurs plasticiens de renom. C’est une ville qui m’a porté chance et qui m’a marqué à tout jamais. D’ailleurs dans mes toiles j’évoque souvent les souvenirs de Tanger, sa lumière, ses bleus et blancs éblouissants. Puis, du côté de Marrakech, je rappelle les tons sourds des terres brûlées, les couleurs oxydées sans oublier pour autant l’univers éclatant des teinturiers, renchérit-il. Depuis ses débuts dans les années 90, l’artiste n’a cessé de participer à des expositions au Maroc, en Europe, au Moyen-Orient et aux États-Unis. Il est aussi connu pour ses œuvres murales et décors qu’il a réalisés au Maroc et en France, ainsi que ses publications et collections privées et publiques. Il est exposé au musée national d’art contemporain à Rabat.


Marwan Fakir

Marwan Fakir

Marwan FakirMarwan Fakir

Marwan Fakir se forme au sein des conservatoires de Marrakech, Paris 9ème et Tourcoing.

Il a étudié de manière approfondie le répertoire traditionnel arabe et turc avec de grands maitres (Kudsi Erguner) et a été l’un des premiers à introduire le violon à cinq cordes dans le paysage musical oriental.

Sa carrière l’a mené sur de nombreuses scènes dans le monde arabe, en Asie , Europe et en Amérique. Friand de nouvelles expériences musicales, il joue actuellement dans différentes formations et accompagne des chanteuses et chanteurs reconnus (Léna Chamamyan, Jahida Wehbe , Rachid Gholam , Abeer Nehme …).

Il crée avec Pierre-Antoine Despatures  et Louis Desseigne le trio Fakir. Au sein d’Opéra Eclaté , il a participé à la création de la première version de la Carmen Arabo Andalouse à Marrakech en 2001, au « café chantant » et de nombreux concerts de musique de chambre Arabo andalouse ?

Autour du trio Fakir, il crée un ensemble à géométrie variable : l’orchestre Mare Nostrum réunissant des musiciens d’origines diverses autour des musiques et des cultures du bassin méditérannéen.


pierre antoine Despatures

Pierre-Antoine Despatures

pierre antoine DespaturesPierre-Antoine Despatures

Pierre-Antoine Despatures  est multi-instrumentiste et artiste sonore. Après des études de contrebasse classique au CNSMD de Paris, il mène sa trajectoire artistique dans le champs des musiques traditionnelles, des musiques improvisées et contemporaines. Il dirige ses propres groupes, pour lesquels il compose et arrange (Vera Desti, Fakir Trio, Petite Lucette, La Cozna) et développe également un solo de musique électronique.

Il aime à travailler la mise en relation d’éléments d’écritures contemporaines et d’éléments issus des musiques de traditions orales, des musiques de transe, et des musiques populaires. Il cherche à développer un folklore de l’imaginaire et une poétique de la transe et de la rêverie.

Il a bénéficié du soutien la fondation N’Guyen Thien Dao, des Chantiers des Détours de Babel, de la Ferme de Villefavard et de l’Orchestre National de Jazz. Il a été finalisté Jazz Migration en 2022 avec son groupe Vera Desti.


Mari Laurila Lili

Mari Laurila Lili

Mari Laurila LiliMari Laurila-Lili

Mari Laurila-Lili née à Helsinki en Finlande est une artiste complète après une formation de piano et de chant lyrique à l’Académie Sibelius de Helsinki , elle se forme au CRR de Rueil-Malmaison auprès d’ Angéline Pondepeyre ,puis au CNSM de Lyon à la direction de chant (clavecin, orgue, direction) , CNSM de Paris à direction de chant (1er prix 1992), à l’accompagnement vocal et à histoire de la musique . elle prend des cours de théâtre à  l’Ecole Claude Mathieu  et à l’Université de Nice .Elle obtient un diplôme de théâtre musical à la Royal Academy of Music de Londres .

Mari a une jolie expérience de comédienne : elle joue dans la pièce de Billetdoux Comment va le monde, Môssieu ? Elle tourne Môssieu, au théâtre de la Colline en 1992 puis différente expériences dans des pièces de Labiche, Mishima, Shakespeare, De Obaldia . En 1991 le clown dans Lulu au Théâtre du Châtelet , en 2005-2007 Grand-mère Tzeitel  dans Un violon sur le toit au  Comedia, Casino de Paris enfin Lili Kabarett de Karl Valentin Festival d’Avignon 2016/2018. Dernièrement Gladhand dans West Side Story . Elle chante la Périchole au tambour royal en 2002, L’opinion publique d’Orphée aux enfers mis en scène par Christophe Mirambeau , Jimmy dans Elephant Man à l’opéra de Nice mis en scène par Daniel Mesguich et Ysi-ysi une revue au théâtre Areena d’ Helsinki.

En tant que pianiste comédienne elle travaille aux débuts de la péniche opéra avec Pierre Danais, Vincent Vittoz, sa dernière prestation sur scène est dans Wozzeck à l’Opéra de Monte-Carlo mis en scène par Michel Fau.

En tant que Cheffe de chant elle a accompagné plus de 50 opéras aussi varié que Lulu, Salomé, Street Scene , Lohengrin , Boris Godounov , O mon bel inconnu , les opéras de Mozart et Verdi .


Analia TELEGA

Analia Telega

Analia TELEGA Analia Telega

Diplômée du Conservatoire Royal de Liège (Belgique) et lauréate de la Fondation Royaumont, Analia Téléga est également titulaire d’un Master II de Recherche LLCE Italien en Sorbonne-Nouvelle Paris III. Sélectionnée en phase finale ou finaliste de nombreux Concours Internationaux, Analia Téléga a rem- porté le Grand Prix des Nouveaux Talents de l’Art Lyrique (Belgique). Elle vient d’incarner Kate Pinkerton dans Madame Butterfly de Puccini (msc. O. Desbordes, dir. D. Trottein) pour la tournée d’Opéra en Plein Air 2021, et reprendre le rôle d’Elle dans La Voix humaine de Poulenc (msc. R. Haberberg, dir. G. Brécourt). Elle aborde régulièrement des rôles dramatiques sous la direction de metteurs en scène issus du

théâtre, tels Bianca (Eine Florentinische Tragödie, Zemlinsky), dir. J-P Pruna, msc. A. Nauzyciel au Théâtre National de Bretagne et à la Fondation Royaumont, Eurydice (Orphée et Eurydice, Gluck), dir. V. Bonzom, msc. U. di Gregorio au TOPF Silvia Montfort, ainsi que le rôle de Dulce, pour la création de l’Oratorio théâtral Santa d’Antoine Juliens, inspiré du Château Intérieur de St Thérèse d’Avila, (Festival Verbe Sacré, Théâtres de Brest, Morlaix, Quimper).

Elle développe en parallèle sa palette comique, sous la direction de Jorge Rodrigues pour le rôle de Dulcinée (Don Quichotte chez la Duchesse, Boismortier), dir. António Carrilho, au Grand Auditorium de Caldas da Rainha (Portugal), avec Emmanuel Marfoglia dans La Route Fleurie de Lopez en 2018 et La Vie Parisienne d’Offenbach en 2021/2022, sous la direction de L-V Bruère (Casinos d’Enghien et de Deauville, Théâtre de Champagne de Troyes…).


Aviva Manenti

Aviva Manenti

Aviva Manenti, née en Italie d’un père italien et d’une mère française, est une jeune mezzo-soprano de vingt-cinq ans.
Elle commence à chanter l’âge de onze ans et se produit par la suite dans non moins de cent concerts en tant que soliste, mais aussi choriste, abordant des répertoires allant des lieder allemands, à la mélodie française, en passant par des airs d’opéra italien et des œuvres contemporaines.

A l’âge de seize ans, elle participe au concours télévisé “Prodiges” de France 2 et fait partie des douze finalistes. Elle rencontre à cette occasion Elizabeth Vidal et devient ainsi son élève.
Par la suite, en parallèle à des études universitaires en Musicologie (elle se diplomera en 2021), Aviva Manenti intègre les voix du Centre d’Art Lyrique de la Méditerranée. Elle participe alors à de multiples masterclasses et se produit à chaque saison pour plusieurs concerts dans la région de Nice auprès d’autres jeunes chanteurs.

Elle fait ses débuts sur la scène de l’opéra de Nice pour la saison 2020/2021 dans le rôle de l’une des filles d’Akhenaton, dans l’Akhenaten de Philip Glass, opéra rejoué la saison suivante avec grand succès.
Aviva obtient son DEM avec mention très bien au Conservatoire à Rayonnement Régional de Nice en 2019, et ayant toujours la soif d’approfondir ses connaissances et ses compétences, elle suit par la suite une formation pour jeunes chanteurs lyriques dans le CFA de la Métropole Nice Côte d’Azur en 2022 et 2023.

A plusieurs reprises elle se fait remarquer dans des concours internationaux, notamment le concours Raymond Duffaut (Prix Soroptimist, le concours de Vienne en Voix (Prix jeune espoir et prix de mélodie française) en 2023, ou encore au concours de Béziers en Avril 2022, où elle gagne le prix jeune espoir.
En 2022 elle intègre l’Académie de l’Opéra de Bordeaux, et tiendra pour cette occasion le rôle de la Sorcière dans une version revisitée du Didon et Enée de Purcell, opéra qui aura un grand succès auprès du public bordelais. En 2023 elle intègre la production Carmen Al-Andaluz d’Opéra Éclaté en tant que cigarière.

Elle jouera en début 2024 dans une production de l’opéra de Nice de l’œuvre contemporaine Guru de Laurent Petitgirard,dans le rôle d’une Nouvelle adepte.


Omar Hasan

Omar Hasan

Omar HasanOmar Hasan

Initié au chant dans les rangs du chœur universitaire de Tucumán en Argentine, c’est en France, par l’entremise du baryton Jean-François Gardeil que cet ancien sportif de haut niveau reconnu par ses pairs comme un des grands noms du rugby international découvrira l’art lyrique. Élève au Conservatoire de Toulouse, il étudiera auprès Jane Berbié. Opérant un retour naturel au pays natal, Omar a ajouté le tango à son répertoire, et se produit en public pour son premier spectacle « Tangomar » mis en scène par Eric Perez et accompagné par Roger Pouly, pianiste et orchestrateur de Charles Trénet pendant plus de 20 ans.

Il interprète plusieurs rôles dans des opéras classiques tels que King Arthur d’Henry Purcell – rôle de Cornus -, La belle Hélène d’Offenbach – rôle d’Ajax – il a interprété Jephté dans l’oratorio « Historia di Jephté” de Giacomo Carissimi ou encore Escamillo dans une adaptation de l’opéra Carmen de G. Bizet à plusieurs reprises. Il s’est aussi produit sur les planches du théâtre du Capitole de Toulouse dans « L’enfant et les sortilèges » de Ravel – rôle de l’horloge- et aussi dans une création du Théâtre du Capitole  en 2019 « L’Orphée «  de Jean François Verdier dans le rôle du professeur, Hadès et Apollon.

Omar Hasan a collaboré aussi avec Gilles Ramade . En 2016 il est Sulpice dans « La fille du régiment » de Donizetti. En 2018 il joue les trois rôles du Diable dans « Les contes d’Hoffmann » d’Offenbach. En 2020  il interprète le rôle principal dans la création de la pièce « Chuck » la vraie histoire de Rocky Balboa. Omar Hasan va construire de nouveaux projets, notamment « CAFE TANGO », deuxième spectacle qu’Omar consacre au Tango, lequel aura un grand succès avec plus de 300 dates dans ces différentes versions.

Pour son second spectacle plus personnel « BELCANTOR ! », créé à Eauze et soutenu par la ville d’Eauze, il retrouvera sur scène le pianiste Marco Poingt pour une quarantaine de dates en tournée.

Omar Hasan continue ainsi son aventure singulière d’artiste et chanteur entre répertoires classiques et populaires avec un égal plaisir et une passion sans limite.


Eduard Ferenczi Gurban

Eduard Ferenczi Gurban

Eduard Ferenczi Gurban

Ferenczi Gurban Eduard est un baryton roumano-hongrois de 26 ans. Eduard a remporté plusieurs prix : 3e Prix à la 36e Édition du Concours International du Chant Lyrique « Les Amis du Belcanto » (2023), Prix Jeune Espoir au Grand Prix de la Voix (2ème édition, 2022), 1er Prix au « Concours International Danubia Talents » en 2021 ( section chant), 1er Prix au Concours Vocal International de Bâle en 2022 (18-26 ans), 2ème Prix au Concours de Musique « Luigi Cerritelli » en 2022, a obtenu le 3ème Prix au « London Classical Music Competition » (section chant). Au cours de sa carrière, il collabore avec l’Opéra de Nice à travers le CFA Metropole, programme qui le forme en tant que jeune artiste. Il a participé à des concerts, des productions et des ateliers.

Le premier rôle qu’il a interprété et chanté était celui de Belcore de l’opéra « L’elisir d’amore » de G. Donizetti, dans l’auditorium de l’Académie de Musique « Gheorghe Dima ». La première apparition de Ferenczi Gurban Eduard dans un théâtre a eu lieu à l’Opéra national roumain de Cluj-Napoca (2021) où il a chanté l’air de Belcore de l’opéra « L’elisir d’amore » de Donizetti.

Entre 2021 et 2023, il a obtenu son diplôme de premier cycle et son master à l’Académie Nationale de Musique « Gheorghe Dima ». Actuellement, il étudie un doctorat professionnel à l’Académie « Gheorghe Dima » dans le domaine du chant lyrique. L’une de ses réalisations au cours de cette période a été la participation à la masterclass organisée par la célèbre coach vocale et accompagnatrice de la classe de chant de Dietrich Fischer Diskau, Karola Theill.

En juin-juillet 2022, en soliste, il participe au festival « Les fantômes de l’opéra » réalisé à Lavaur et à Luchon (Théâtre de Luchon), sous la direction de M. Louis-Vincent Bruère. En mars 2023, il réalise sa deuxième production au Théâtre de l’Etang de Perpignan.

Le 26 septembre (2022), il fait ses débuts dans le répertoire vocal-symphonique, dans un concert accompagné par la Philharmonie de l’etat de Târgu-Mureș, en interprétant la « Krönungsmesse » (Messe du Couronnement) écrite par W.A. Mozart.

En février-mars 2023, il faisait ses débuts dans l’opéra « Didon et Enée », écrit par Henry Purcell au Grand-Théâtre de Bordeaux. Il a représenté Enée. Au cours des saisons 22/23 et 23/24, il fera ses débuts dans le rôle du Dancaire (G.Bizet, Carmen) avec Opera Eclate.

Une autre grande réussite qui reflète son parcours est l’entrée à l’Académie de l’Opéra de Monte-Carlo de la saison 23/24 créée par Cecilia Bartoli et dirigée par Sophie Koch. En effet, la saison 2023/2024 s’annonce très chargée pour lui, préparant les rôles suivants : L’Horloge Comtoise et Le Chat (M.Ravel, L’enfant et les sortilèges : Opéra de Monte-Carlo), Nouvel Adepte 5. (Laurent Petitgirard, GURU : Opéra de Nice), Ajax 2 (J.Offenbach, La belle Hélène : Opéra de Massy, Opéra Clermont Ferrand, Theatre de Brunoy).

Parallèlement, la saison 23/24 lui permet d’approfondir ses connaissances sur un vaste répertoire vocal concertiste, dans des titres tels que : « Les prières dans l’opéra », Théâtre Anthéa (Antibes) ; « Hommage à Napoléon III » (Opéra de Nice).

Durant son séjour niçois, il développe ses talents et capacités de chant grâce aux masterclasses auprès d’artistes de renom : Sophie Koch, Alessandro Zuppardo, Mauro Trombetta, Vincent Monteil, Vincent Vittoz, Kyra Parfeevets, Mari Lili Laurila, Jean-Marc Biskup, Alain Garichot, Olivier Desbordes. Eduard a poursuivi sa formation professionnelle avec la soprano Olga Romanko dans des cours particuliers de chant, et à Milan, en Italie, avec monsieur Nelson Calzi (pianiste – Teatro Alla Scala).


Yanis Benabdellah

Yanis Benabdellah

Yanis Benabdellah

Né à Rabat, Yanis Benabdallah est ténor lyrique, chef de chœur et d’orchestre français, d’origine marocaine et hongroise.

Après un prix de piano au Conservatoire de Suresnes dans la classe de Virginie Pasdeloup et des études de Musicologie à la Sorbonne, il obtient son Prix de direction de choeur en 2011 dans la classe de Valérie Fayet, puis se forme à la direction d’orchestre au Conservatoire Royal de Bruxelles ainsi qu’auprès du chef d’orchestre Amine Kouider. Aujourd’hui il est directeur musicale du Choeur Départemental de la Sarthe.

Yanis a débuté comme soliste à l’âge de 12 ans dans le Chœur d’Enfants de l’Opéra de Paris avec La Flûte Enchantée (tournée en Italie), et Tosca (à l’Opéra Comique).

Après une formation lyrique auprès de Sophie Hervé, il obtient son Prix de chant à l’unanimité au CRR de Paris. En 2014, il obtient ensuite son diplôme de « Concertiste » à l’unanimité avec félicitation du jury à l’Ecole Normale de Musique à Paris dans la classe de Daniel Ottevaere. Il poursuit sa formation avec Vladimir et Olga Chernov, puis avec Mariam Sarkissian.

En 2006, il obtient le Premier Prix de Chant dans le gala « Jeune talent français » à Monaco, et arrive 1er nominé « mention très bien » du concours international de l’UPMCF à Paris de 2010. Il obtient le « prix spécial » du concours international Gabriella Benackova 2018 en République Tchèque.

Sa carrière débute en 2007 avec Ange Pitou dans La Fille de Madame Angot, Falsacappa dans Les Brigands d’Offenbach, puis Cordiani dans Andrea del Sarto, opéra contemporain de Daniel Lesur et Néron dans le Couronnement de Poppée. En 2012, il chante le rôle d’Orphée  dans  Les malheurs d’Orphée  de D. Milhaud. En 2013 il fait ses débuts à Budapest au festival « Verdi Wagner ». Il rajoute à son répertoire, Don Ottavio dans Don Giovanni de Mozart chanté au festival de Chartres d’Eve Ruggieri et  Tamino dans La Flûte Enchantée de Mozart au festival de Marmande. C’est en abordant le rôle de Don José dans Carmen chanté à la fameuse Philharmonie de Budapest en juin 2015 que sa carrière artistique prend essor notamment en Hongrie ou il chante Nemorino dans l’Elisir d’Amore à Szeged,  Tamino à l’opéra de Budapest et à Miskolc, Don José au Mans et à la « Seine Musicale » à Paris, Alfredo dans la Traviata à l’opéra d’Alger et à la Philharmonie d’Arad en Roumanie, Ismael dans Nabucco de Verdi à la Seine Musicale de Paris ainsi que Roméo de Gounod à Rennes.

 

Il fait ses débuts à Zurich dans le rôle de Franz dans Das Rösli vom Säntis de Franz Curti. En 2023, il chantera Ferrando dans Cosi fan Tutte à Rennes ainsi que Hoffmann dans Les Contes d’Hoffman de Jacques Offenbach au théâtre national de Miskolc.

Récemment, il interprète « La Bonne Chanson » de Fauré en compagnie de Marie-Christine Barrault, accompagné au piano par Jeff Cohen et Christian Ivaldi au concert d’ouverture de l’Académie Francis Poulenc.


Sonia Menen

Sonia Menen

Diplômée du Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulouse, la soprano Sonia MENEN se forme auprès des plus grands : Leontina Vaduva, Rie Hamada, Gabriel Bacquier, Florian Laconi, Andrew Schroeder, Jean-Philippe Lafont, Anne Le Bozec, Jean-Marc Bouget, Claudine Ducret, Sophie Koch, Didier Laclau-Barrere…

Elle fait ses premiers pas sur scène en 2007 « l’Enfant et les sortilèges » de M.Ravel au théâtre de Pibrac (31). Elle interprète ensuite les rôles d’Adelestan de la Bombardière, Titine et Eugénie (trois personnages extraits des « 4 opéras de poches » de G.Taillefer, dirigé par Stéphane Cardon; l’Amoureuse (« les souvenirs envolés » de O.Desjours) ; Zerline , Papagena; ; Micaela et Frasquita ; Suzanne et La comtesse des Noces ; Gianetta (« Elisir d’amore ») ; et se produit lors de récitals notamment au théâtre du Capitole, à la Halle aux Grains, à l’auditorium Saint-Pierre des Cuisines et à l’espace Croix-Baragnon de Toulouse. En octobre 2020, elle fait ses débuts au Théâtre du Capitole de Toulouse, dans le rôle de Lydie dans « Penelope » de G.Fauré.

Elle a participé au Festival des Nuits d’été en Savoie en tant que Soprano solo dans le « Requiem » de Mozart, et la « 4ème Symphonie » de G.Mahler. Elle continue la découverte d’œuvres sacrées en chantant dans de nombreuses pièces du répertoire sacré.

En Mars-Avril 2011, elle interprète le rôle d’Eurydice de « Orphée aux enfers » de J.Offenbach au théâtre Casino Barrière de Toulouse et à l’auditorium St-Pierre des Cuisines (direction : Jean-Guy Olive). Puis, elle a poursuivi avec les rôles de Catherine dans « Pomme d’Api »et Fiorella dans « Les brigands » (Maison de la musique de Nanterre. Direction : Fabrice Parmentier), la baronne de Gondremarck dans « La vie parisienne » .

En novembre 2012, elle obtient le prix jeune espoir du concours de chant de l’UPMCF puis en août 2013, elle est lauréate du 2ème prix opérette au concours international de chant de Marmande (France) ; et en juin 2016, du 2ème prix opéra au concours international « opéra en Arles » (France).
Prochainement, elle interprétera le rôle d’Isis dans la tragédie lyrique baroque « Isis » de J.B. Lully, puis le rôle de Liu, dans « Turandot » de G.Puccini (Production de la Fabrique Opéra Grenoble, dirigé par Patrick Souillot et mis en scène par Corinne et Gilles Benizio)


Yassine Benameur

Yassine Benameur

Yassine Benameur entame sa formation au Conservatoire National de Musique et de Danse de Rabat, sa ville natale. Après sa formation, il rejoint le Chœur National du Maroc. En 2005, il intègre la classe de Roselyne Allouch au CNR de Dijon, puis celle de Pierre Catala au Conservatoire Francis Poulenc à Paris, où il obtient son diplôme.
Chanteur lyrique pour de nombreuses productions : Antonio dans Les Noces de Figaro, Garcia dans une adaptation de Carmen, Ramirez dans La Belle de Cadix, Yamadori dans Madame Butterfly, Mathew Kumalo dans Lost in the stars de Kurt Weill, Smith dans L’Opéra de Quat’Sous, Le Marquis d’Obigny dans La Traviata de Verdi, Achile dans La Belle Hélène, Schlemil dans Les Contes d’Hoffmann et le Comte Miguel de Panatellas dans la Périchole d’Offenbach…
Parallèlement il est assistant sur plusieurs mises en scène (L’Opéra de Quat’Sous, Falstaff, Les Noces de Figaro, Cavalleria Rustica et Pagliacci, Cosi Fan Tutte…) ajoutant ainsi une nouvelle corde à son arc artistique. En 2023, il est Garcia dans Carmen Al-Andalus. Il devient directeur artistique du festival « Opéra des Landes ».


Sonia Skouri

Sonia Skouri

Formée en chant lyrique et à la Comédie Musicale. Elle intègre la Cie Mélusine où elle fait ses débuts sur scène dans le rôle d’Aspasie dans “PHI-PHI” de Christiné.

Entre temps, elle obtient sa Licence en philologie espagnole et intègre, le Conservatoire professionnel Manuel de Falla de Cadix en Espagne, se formant auprès de Rodriguez-Rodriguez Esteban, avant de revenir en France pour terminer sa formation et bénéficier des conseils d’artistes tels que Renée Doria, Hélène Perraguin, Mireille Delunsch et Sophie Pondjiclis. Elle interprète le rôle de Soeur Mathilde dans “ Dialogues des Carmélites “,direction J- M Ferran et aborde les rôles de Carmen, de Dorabella dans “Cosi fan tutte” de Mozart au théâtre d’Argenteuil.

Dans le cadre de l’Académie Angevine, elle participe à la production d’ ”Orphée aux Enfers “ sous la direction de Nicolas Bercet, Valeria Altaver et Karine Laleu (rôle de Junon et de l’Opinion Publique). En 15/16 elle chante le page Fridolin au Grand Théâtre d’Angers dans “le Sire de Vergy “ de Claude Terrasse ainsi que la Troisième Dame dans “ La Flûte Enchantée “ et celle de la Mère Abbesse dans la comédie musicale “La Mélodie du Bonheur “.

En 2018 elle bénéficie des conseils de Teresa Berganza. En avril 2021 elle interprète le rôle de Salud dans la “Vida Breve” de Manuel de Falla dans une mise en scène de Catherine Dune et travaille auprès de Sophie Pondjiclis. En mai 2022, elle participe au “Châtelet Musical Club” avec “Yo soy Maria” dans l’opéra tango “Maria de Buenos Aires” d’Astor Piazzolla et “New York, New York” de John Kander.

En juillet 2022, elle incarne  Carmen dans la Comédie Musicale “Carmen Street” d’après Bizet, mise en scène de Jean-Philippe Delavault et direction de Benoît Girault.


Jean-François Marras

Jean-François Marras

Né à Ajaccio, Jean-François Marras commence la musique à 14 ans avec le chant traditionnel corse et la guitare. A l’âge de 16 ans, il se tourne vers le chant lyrique et commence à étudier avec le baryton Jean-Paul Grisoni, puis avec Jean-Marc Bouget depuis 2017. Jean-François Marras se perfectionne auprès de Stéphanie D’Oustrac. En 2008, il entre au Conservatoire du 12e arrondissement de Paris, dans la classe de Didier Henry en chant et de Carole Bergen en art dramatique. En octobre 2013, il intègre la classe de Chantal Mathias au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, et en 2014 dans la classe d’Isabelle Guillaud.

Au cours de sa formation, il chante Bénédict (Béatrice et Bénédict), Nadir (Les Pêcheurs de perles), le Chevalier de La Force (Dialogues des Carmélites), le Prince charmant (Cendrillon). Sur scène, il est également Hoffmann (Les Contes d’Hoffmann) et Alfredo (La Traviata).

Il chante les parties de ténor solo des Requiem de Verdi et Mozart sous la direction de Fayçal Karoui avec l’Orchestre de Pau Pays de Béarn.

Jean-François Marras rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2016. Il y interprète les rôles de Lechmere (Owen Wingrave de Britten), Momus et Lycurgue (Fêtes d’Hébé de Rameau), et Der Dichter (Reigen de Boesmans). Jean-François Marras est invité par Eve Ruggeri dans ses festivals : « Un été en Gascogne » où il y interprète le rôle d’Alfredo, également au festival de Chartres pour Don José (Carmen).

Parmi ses récents et futurs engagements, Jean-François Marras est Sir Bruno Roberton (I Puritani) à l’Opéra national de Paris ; il se produit en concert en France avec les lauréats du Concours Voix Nouvelles ; il est Lenski (Eugène Onegine) à l’Opéra de Massy ; Don José (Carmen) avec Opéra Côté Chœur. Jean-François Marras se produit également en récitals à Arles ainsi qu’en Corse.


Ahlima Mhamdi

Ahlima Mhamdi

Après des études théâtrales au Conservatoire de Châtillon et une licence à La Sorbonne Nouvelle, la mezzo-soprano franco-marocaine Ahlima Mhamdi intègre la classe d’art lyrique d’Isabelle Germain et Fabrice Boulanger au CNSMD-Lyon, où elle obtient son prix Mention Très Bien à l’unanimité avec félicitations du jury.
Pendant sa formation, elle est admise au Nouveau Studio de l’Opéra de Lyon et elle est nommée « Révélation lyrique de l’ADAMI ». Puis elle remporte le Premier Prix Opéra et le Premier Prix Mélodie au Concours International de Marmande 2015 ainsi que le Second Prix, le Prix du Public et le Prix de la Cité de la voix au Concours International de Mâcon 2016.
À sa sortie du CNSM, elle intègre la Jeune Troupe de solistes du Grand Théâtre de Genève (2013-2016) qui lui confie des rôles chaleureusement salués par la presse. Elle y chante notamment les rôles de Fenena (Nabucco), Maddalena (Rigoletto), Preziosilla (La Forza del destino), Meg Page (Falstaff) ou encore celui de Martine (Le Médecin malgré lui de Gounod).
Elle interprète le rôle-titre de Carmen au Festival d’Alden Biesen en Belgique, ainsi qu’au Boïchoï de Minsk en Biélorussie. Elle fait l’été 2016, ses débuts aux Chorégies d’Orange dans le rôle de Flora (La Traviata) aux côtés de Placido Domingo. Ahlima chante Mercédès (Carmen) au Théâtre des Champs-Élysées, Smeton (Anna Bolena) au Grand Opéra d’Avignon, Maddalena (Rigoletto) et Bersi (Andrea Chénier) au Grand Opéra de Tours, Martine (le Médecin malgré lui) à l’Opéra de Rennes, plusieurs concerts de gala au Symphony Hall d’Osaka, le Requiem de Verdi au Victoria Hall de Genève, Flosshilde et Schwertleite (der Ring ) au Grand Théâtre de Genève, L’Opinion Publique (Orphée aux Enfers) à l’Opéra de Reims.
Elle a interprété L’Impératrice création d’Eric Rouchaud au Théâtre Impérial de Compiègne et à l’Opéra de Vichy, Mercedes au Festival lyrique de Sanxay.
Plus récemment elle a chanté le rôle titre de Carmen à l’Opéra de Massy, la 2nde Magde (Elektra) au Grand Théâtre de Genève. La saison dernière Ahlima a retrouvé le rôle de Flora à Clermont Ferrand et en tournée avec Opéra Nomade et s’est fait très remarquée dans le rôle-titre de Carmen en tournée avec opéra éclaté.
Parmi ses projets : Ahlima retrouve le rôle de Carmen en tournée avec Opéra éclaté, à l’opéra de Clermont Ferrand, puis fera 3 prises de rôle : Mère Marie dans Le Dialogue des Carmélites à l’Opéra de Massy, Dorabella et le rôle titre de La Belle Hélène en tournée avec opéra éclaté.


Anne Barbier

Anne Barbier

Anne Barbier est une artiste éclectique et polyvalente : musicienne (saxophoniste), comédienne et chanteuse lyrique depuis plus de 30 ans. Toutes ces pratiques se nourrissant et s’enrichissant les unes des autres, impossible de la ranger dans une case, elle s’épanouit justement dans la variété des techniques et dans les voyages de l’une à l’autre. Formée auprès de G. Lebreton au Carré Silvia Monfort, G. Verler, J. Garfein, J. Strasberg comme comédienne ; au CNSM (1er prix en Art lyrique et Comédie musicale) comme chanteuse, et plus récemment au masque balinais avec C. Wistari et au clown avec P. Hottier et F. Robbe.
Sa carrière d’interprète l’amène donc à explorer des genres très variés, allant de la création musicale contemporaine (Sommaire Soleil de C. Prey à la Péniche Opéra, Le brave soldat Schweik de Kurka au festival de St Céré), au cabaret (Cabaret interlope avec Olivier Desbordes, Cabaret Vienne-Berlin avec F. Berthier) en passant par l’opéra (Falstaff avec O. Desbordes, Le petit Ramoneur avec M. Laroche, Eugène Onéguine avec Michel Fau), l’opéra bouffe (Le Roi Carotte, La Vie parisienne, La Belle Hélène avec O. Desbordes ), la comédie musicale (Trouble in Tahiti de Bernstein avec J. Lacornerie) et bien sûr le théâtre (L’Opéra de 4 sous avec P. Delaigue). Depuis 2016, elle est à l’affiche de Et Pendant ce temps Simone veille ! de Trinidad, dans une mise en scène de Gil Galliot (Studio Hébertot, Avignon off 2016, 2018 et 2019, Comédie Bastille, plus de 600 représentations). Sa gourmandise pour le travail des rôles et son goût du perfectionnement l’amènent notamment à y interpréter trois des quatre rôles (12 personnages).