CONTACT DIFFUSION
Chargé de diffusion
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benjamin.guiraud@birdy-prod.com
Attaché de presse – SUTI AGENCY
Denis Sublet
06 87 02 69 41
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CHANSON
Distribution
Mise en scène Olivier Desbordes
Avec
Piano :
Charlotte Gauthier / Roger Pouly
Chant :
Sandrine Montcoudiol
Anne Barbier
Eric Vignau
Eric Perez
Jean-Pierre Descheix
Décor, costumes, lumière :
Patrice Gouron
Photos :
Nelly Blaya
Résidence de création :
Festival de Gramat – été 2024
Production :
Opéra éclaté
Avec le soutien de la ville de Gramat
« Une folie musicale »
La Provence« Les fauves sont lâchés »
La Marseillaise« Une bulle de bonheur »
Vaucluse matin« cabaret fou-fou-fou »
Avignon-et-moi.fr« Un régal »
theatrotheque.com« On rit, on rit, on rit »
Les Noctambules d’Avignon« Un spectacle irrésistible »
L’Écho du mardi« ça fait un bien fou »
Culture-Avignon.fr
LA PRESSE EN PARLE
« Le spectateur oublie le temps pour être emporté par une galerie de personnages pétillants et une playlist musicale digne des années folles des cabarets. »
« Quand un des cinq comédiens-chanteurs joue sa partition, le regard est aussi retenu par les facéties de l’un des autres. »
« On rit, on a envie de chanter avec eux et on finit par applaudir en disant merci de cette bulle de bonheur. »
Vaucluse matin – juillet 2025
« Véritable plongée dans l’univers joyeux et insouciant des music-halls des années 30 à 50, cette parodie musicale burlesque, satirique et extravagante bouscule gaiement codes, genres et styles. »
« Loin du politiquement correct et de la bien-pensance actuelle, ce cabaret dérangé, dégenré et déjanté, est portée par six interprètes délirants au talent inouï. »
« Une folie musicale impertinente et incontrôlable : assurément un incontournable du Off ! »
La Provence – juillet 2025
« La compagnie Opéra Éclaté offre à nos zygomatiques une oasis de fraîcheur pour plus d’une heure d’évasion au pays de la futilité. »
« Les chanteurs assument sans sourciller, la bouche peinte en vermillon, les faux-cils agressifs, les joues et les paupières rehaussées de couleurs tapageuses. »
« Derrière les maquillages outranciers se cachent des hommes et des femmes avec leurs fêlures et surtout leur besoin d’être aimés. »
La Marseillaise – Jean-Louis Châles – juillet 2025
« Véritable plongée dans l’univers joyeux et insouciant des music-halls des années 30 à 50, cette parodie musicale burlesque, satirique et extravagante bouscule gaiement codes, genres et styles. »
« Loin du politiquement correct et de la bien-pensance actuelle, ce cabaret dérangé, dégenré et déjanté, est portée par six interprètes délirants au talent inouï. »
« Une folie musicale impertinente et incontrôlable : assurément un incontournable du Off ! »
La Provence – juillet 2025
« Venez prendre un boost d’énergie auprès de cette troupe incroyable et talentueuse »
« Vous retrouverez toute l’atmosphère d’un cabaret parisien avec du burlesque, du grotesque, du décalé et de l’inclassable. »
« Quand on pense qu’on a vu le costume le plus extravagant, le suivant est un cran au-dessus. »
« Alors échauffez-vous bien les zygomatiques car vous allez rire durant une heure et quart. »
Les Noctambules d’Avignon, juillet 2025
« Ce cabaret déjanté avec sa pianiste et ses 5 comédiens, ont emporté la salle en moins d’une minute par un florilège de mélodies. »
« Les rires et les applaudissements fusent à l’issue de chaque morceau, preuve d’un jeu travaillé, millimétré et ultra créatif. »
L’écho du mardi, juillet 2025
« Un cabaret qui décoiffe mieux qu’un mistral d’Avignon »
« C’est une parodie pétillante, insolente, pleine de liberté, d’excès et de joie, qui célèbre l’inclusion, la vérité des émotions et la fantaisie. »
« On rit, on est ému, parfois on ne comprend pas mais c’est pas grave : on en ressort heureux comme après trois verres de champagne. »
« Un spectacle qui bouscule, qui chatouille la bien-pensance avec une plume dans le fessier, et qui réussit l’exploit d’être aussi intelligent qu’irrémédiablement délirant. »
Culture-Avignon.fr – Pascal – Les 2M & Co – juillet 2025
« les nombreux costumes sont incroyablement extravagants »
« les artistes se griment et se travestissent »
« planète interlope où Y’a d’la joie à chaque numéro »
« revisiter les classiques de la chanson française »
« Le décor est kitch. Les nombreux costumes sont incroyablement extravagants. Les artistes se griment et se travestissent. »
« C’est un tourbillon de chansons du répertoire, allant de 1900 à 1970. »
« Sandrine Montcoudiol et Anne Barbier sont d’épatantes meneuses de revue. »
« Ces chanteurs de formation classique nous embarquent joyeusement dans leur douce folie. »
L’œil d’Olivier – Marie-Céline Nivière – juillet 2025
« Un vrai bol de gaîté. C’est frais, drôle, émouvant. Et des costumes… oups ! chaque chanson à son costume. »
« Bravo à la mise en scène, bravo aux costumes. Après une journée de spectacles prises de tête, un vrai bain de bonne humeur.
Geneviève Brissot- theatrotheque.com – juillet 2025
« Au fil des chansons du répertoire des music-halls un peu fous … c’est dans un enchaînement ébouriffant que la grande parade de l’humanité défile sur les planches. »
« Les artistes avec leur dérision et leur humour sont, conformément à la tradition du cabaret burlesque, le reflet de la condition humaine et de sa finitude… mais aussi le miroir de notre temps. »
« Les codes, les styles et les genres sont gaiement bousculés, à tel point qu’on ne sait plus vraiment qui est jeune ou vieux, qui est mâle ou femelle… »
Artistikrezo.com – Cinthia Vieira – juillet 2025
« Le metteur en scène signe ici une parodie joyeuse »
« Le spectacle plonge le public dans une ambiance de salle de province »
« Orgie de cabaret burlesque, orgasmique et réjouissante »
« Leur humour, parfois osé, joue avec l’impudeur et la parodie »
« Pendant 1h15, ils déroulent les chansons comme on enfile des perles et imposent au public une véritable orgie de cabaret burlesque, orgasmique et réjouissante. »
« Le spectacle mêle ainsi romances mélancoliques et numéros comiques : perruques démesurées, maquillage outré, calembours gras et clins d’œil transformistes. »
« Le spectacle rend hommage à tout un pan de la culture populaire un peu oubliée. Mistinguett, Chevalier, Dranem, Damia, Francis Blanche, Charles Trenet… »
Objectif Gard – Yannick Pons – juillet 2025
« les codes de genre et conventions sautent en éclats »
« à mille lieues du politiquement correct »
« la vie dans toute sa folie »
« Un cabaret musical déjanté, drôle et dérangé, où se croisent des personnages hauts en couleur qui chantent la vie dans toute sa folie. »
« À travers un répertoire joyeux et décalé, les codes de genre et les conventions sautent en éclats dans une fête burlesque et engagée. »
« Six comédiens-chanteurs-musiciens d’un talent fou vous entraînent dans un tourbillon satirique et festif. »
France Net Infos – juillet 2025
« Y’a de la Joie enchaîne les tableaux avec une énergie renversante et une précision jubilatoire. »
« Costumes extravagants, chorégraphies pétillantes, répliques affûtées : tout concourt à créer un tourbillon d’humour, d’absurde et de légèreté. »
« Les artistes changent de peau à chaque scène, passant d’un numéro burlesque à un sketch musical ou à une séquence chorégraphiée avec une aisance insolente. »
Avignon-et-moi.fr – Jérôme Chaudier – juillet 2025
Y'a d'la joie : une revue déjantée dégenrée dérangée !
Mise en scène > Olivier DESBORDES
Ce cabaret déjanté, décalé, dérangée et dégenrée : « Y a d’la joie » a été conçu comme une parodie joyeuse des vieux Music halls des années 30 et 50. Il invite leurs figures emblématiques : des personnages épris de liberté, échappant à la norme et dont le talent sur scène les rendit célèbres.
C’est aussi, par la dérision, le moment de parler de notre époque d’inclusion mise en cause par les pouvoirs totalitaires !
Mistinguett, Maurice Chevalier, Dranem, Damia et plus tardivement Francis Blanche et Charles Trénet seront là quelque part présents dans ce spectacle, garants d’un humour à toute épreuve et parfois arbitres des inélégances.
Cabaret humoristique et parfois transformiste, le décalage que nous avons mis en place fait à la fois référence à l’envers du Music-Hall de Colette et au Music-Hall de Jean-Luc Lagarce.
C’est aussi un hommage très personnel à tout cet univers que j’ai pu découvrir jeune à mes débuts de carrière notamment auprès de Zizi Jeanmaire, avec qui j’ai fait mes premiers cachets, ou, depuis les coulisses de la scène du LIDO, qui était un poste d’observation très instructif… Il ne faut pas oublier non plus la Faculté de Nanterre lorsque mon professeur de théâtre nous parlait du CABARET TABARIN le lieu de toutes les audaces et d’inventions artistiques… dans la joie de vivre quoi qu’il advienne !
C’est ce sens de la dérision que j’ai aussi découvert pendant mes 5 années passées au Palace, lieu mythique de la fin des années 70 où, responsable d’évènements artistiques et de fêtes, je confrontais des propositions loufoques au très sérieux monde de la mode. J’y ai travaillé aux côtés de Paolo Calia, collaborateur de Fellini.
Avec ce Cabaret déjanté, je fais d’ailleurs référence à un des films de Fellini : « Les Feux du music-hall » un formidable hommage au caf’conc’ et au cirque.
Et puis il y’a l’histoire dans l’histoire avec ce spectacle qui illustre aussi la rencontre de 6 amis comédiens/chanteurs et musicien qui partagent une complicité rare, pour certains depuis plus de 30 ans autour d’Opéra Éclaté et un amour de la chanson populaire française.
Monique Canto-Sperber :
« L’idée d’un art populaire est à entendre ici au sens le plus strict, à savoir un art inscrit dans les expériences humaines partagées par chacun de nous, quelle que soit sa condition ou son origine. Les chansons françaises parlent de la passion amoureuse, de la douleur des séparations, de toutes les formes de la nostalgie, de la légèreté à l’égard du malheur, de la lucidité enjouée qui refuse de faire une tragédie du malheur et peuvent même s’en moquer. «
LE MUSIC-HALL ÉCLATÉ
Les autruches libertaires rêvent-elles de finir au Music-Hall ? Se douteraient-elles que leur plumage y fait merveille ?
Olivier Desbordes connaît sûrement la réponse, tant il manie avec brio la plume froufroutante, le boa débridé, les strass et les paillettes de cette revue foldingue au rythme époustouflant.
Tout est là – décors kitchissimes, costumes mirobolants, maquillages à la Toulouse-Lautrec – dans la grande tradition du cabaret burlesque avec un mauvais goût d’une exquise élégance et une drôlerie inoxydable qui est la politesse de la tragédie. C’est Goya chez Fellini.
Au fil des chansons, de Mistinguett à Nino Ferrer, dans un enchaînement haletant, la grande parade de l’humanité défile sur les planches. Tous les codes, les styles et les genres y sont joyeusement bousculés au point qu’on ne sait plus qui est jeune, qui est vieux, qui est mâle, qui est femelle. Tout cela dans une exultation foutraque et satirique qui passe avec légèreté de la chanson lacrymogène au refrain canaille, sans s’attarder dans le psychologique. C’est impertinent, insolent, cochon et rigolard, à mille lieues du politiquement correct et de la bienpensance. On pense parfois à la belle époque du Grand Magic-Circus de Jérôme Savary et ses animaux tristes. En bref, cela pète de bonne santé.
Mais que l’on ne s’y trompe pas. « Y a d’la joie ! », certes, et l’on rit tout du long mais le pathétique est au revers de la dérision et, pour autant que l’on batte des ailes, on ne congédie pas la mort à coups d’éventail. Il y a dans ce spectacle d’une folle gaité, quelque chose qui nous ramène au Théâtre de la Cruauté cher à Antonin Artaud. Quelque chose qui nous parle de la condition humaine et de sa finitude, de l’Ange et de la Bête, de l’émerveillement et de la désespérance.
Sans doute n’est-ce pas pour rien que les dernières minutes du spectacle – à coup sûr les plus désopilantes – nous transportent dans une Espagne hallucinée. C’est-à-dire au pays des rêves chimériques et du néant. Nous voici confrontés à la nada, ce « rien » où tout s’achève et qui est le moteur même de la vie, Eros et Thanatos étroitement mêlés.
Le grand art d’Olivier Desbordes et de ses magnifiques interprètes est de nous faire oublier tout le travail, tout le métier qu’exige une telle performance et de nous offrir leur Music-Hall de l’air de ne pas y toucher, le plus naturellement du monde. On en ressort groggy, ravi, bousculé, enchanté avec au fond du cœur l’idée que la vie est possible. Life is a cabaret, old chum !, chantait Liza Minnelli. Oui, la vie est un cabaret, mon pote ! Ce Music-Hall Burlesque en est la preuve incarnée.
François-Henri Soulié
Écrivain
Où voir le spectacle ?
| DATES | LIEUX |
|---|---|
| samedi 10 août 2024 | Festival de Gramat | 20h (dîner-spectacle) |
| samedi 17 août 2024 | Festival d'Eauze | 20h (dîner-spectacle) |
| dimanche 19 janvier 2025 | Théâtre de Brunoy | 16h |
| jeudi 6 février 2025 | Théâtre de l'Odéon | 20h |
| samedi 5 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| dimanche 6 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| lundi 7 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| mardi 8 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| jeudi 10 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| vendredi 11 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| samedi 12 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| dimanche 13 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| lundi 14 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| mardi 15 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| jeudi 17 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| vendredi 18 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| samedi 19 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| dimanche 20 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| lundi 21 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| mardi 22 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| jeudi 24 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| vendredi 25 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |
| samedi 26 juillet 2025 | Festival OFF Avignon 2025 - La Nouvelle Etincelle | 16h15 |














