NE VOUS MARIEZ PAS LES FILLESMise en scène Olivier Desbordes

OPÉRA

Distribution

Production OTP

Création au festival de Gramat 2024

Mise en scène
Olivier Desbordes

Avec

chant
Eric Vignau et Eric Perez

Saxophones
Jean-Marc Padovani

Piano
Thierry Gonzalez

durée : 1h20
Résidence de création à Gramat (46)

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Diffusion
Olivier Desbordes
operatheatreproduction@opera-eclate.com
06 82 58 04 07

Création au Festival de Gramat 2024 – en résidence

Éric Vignau et Éric Perez travaillent ensemble sur scène depuis de longues années.
Ce sont la fantaisie et le talent de ces deux Éric qui imposent de manière naturelle le duo : Eric&ric.
Leur projet : « Ne vous mariez pas les filles »

Tous deux comédiens et chanteurs, ils abordent l’univers de la chanson avec la complémentarité et la richesse de leur talent. De la chanson, des textes, du clown, tout l’éventail d’un duo comique au service d’un répertoire musical créé par les grands auteurs… de l’avant et de l’après-
-guerre. Eric&ric, c’est la fusion de deux univers dans une confrontation d’un grand et d’un petit, inspiré par l’image immortelle des grands duettistes : Laurel et Hardy, De Funès et Bourvil… les vieilles ficelles d’un couple dépareillé qui forme un vrai ressort comique.

A travers les chansons de Boris Vian, Prévert, Pierre Dac et avec un hommage à un chanteuse d’entre les deux guerres égérie de Jean Cocteau : Marianne Oswald, ils abordent des situations surréalistes,
burlesques et lucides ! Danses, costumes fantaisistes, trio de Jazz, plaisir !

LA PRESSE EN PARLE

«  Une heure et quart durant, l’affiche associe ce qui se fait de mieux en la matière. Parmi les compositeurs, outre ceux déjà cités, Beydts, Delerue, Eisler, Legrand, Weill et Yvain ; parmi les paroliers, Bertolt Brecht, Pierre Dac, Paul Fort, Eddy Marnay, Jean Nohain, Jacques Prévert et Serge Rezvani. Et nul n’a oublié ces interprètes, femmes (Michèle Arnaud, Marlene Dietrich, Juliette Gréco, Jeanne Moreau, Marianne Oswald, Patachou) ou hommes (Bourvil, Yves Montand, Claude Nougaro, Serge Reggiani, Les Quatre Barbus) qui ont donné vie à tous ces bijoux, ces perles, ces diamants.

En solo ou en duo, sous l’œil d’un homard placide, Perez et Vignau, avec quelques accessoires, perruques et chacun sa table de maquillage, en sont les dignes et charismatiques successeurs, choyant amoureusement le moindre mot : au premier, plus volontiers, le ton sarcastique et grinçant ; au second un tempérament poétique et mélancolique. La java ne s’en va pas, mais le jazz est là, en particulier avec les saxophones tour à tour volubiles et bluesy de Jean‑Marc Padovani, que la sonorisation, de même que le clavier un peu chétif de Thierry Gonzalez, ne met hélas pas toujours suffisamment bien en valeur. Alors la joie viendra peut‑être plus tard, mais la passion, le talent et l’esprit sont déjà là.  »

Concerto.net– Simon Corley – Août 24